GIBERT Akim

Psychothérapeute à Lyon, Sexothérapeute, Hypnothérapeute à Lyon en Hypnose Ericksonienne & hypnose thérapeutique.

06.42.20.77.19

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34 cours Richard Vitton

69003 Lyon (Montchat).


psycho69003@hotmail.com

Cabinet lyonnais de Psychothérapies Sexothérapie et Hypnothérapie.

GIBERT Akim, Hypnose à Lyon.

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Depuis 2009 :

Expérience, savoir-faire, savoir-être, empathie, écoute, soutien, accompagnement, couple, individuel,  Adulte, enfant.

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Psychothérapeute à Lyon Psychothérapie à Lyon Thérapeute de couple à Lyon

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PSYCHOTHÉRAPEUTE Lyon

Vous trouverez ci-dessous quelques exemples de thérapies et psychothérapies mises en œuvre dans mon cabinet à Lyon. Psychothérapie freudienne de type analytique, psychothérapie humaniste rogérienne, thérapie de couple, thérapie psychocorporelle. Par votre psychothérapeute à Lyon depuis 2003.


Psychothérapie à Lyon pour peur, phobie, anxiété ou angoisse, blocage. Psychothérapeute Lyon pour confiance en soi, estime de soi-même, avoir une meilleure image de soi.

Psychothérapie à Lyon pour perte, séparation ou deuil. Psychothérapeute Lyon pour traumatisme, agression, accident, agression sexuelle, viol.


Psychothérapie à Lyon pour angoisse d’abandon. Psychothérapeute Lyon pour angoisse de séparation.

Psychothérapie à Lyon pour timidité. Psychothérapeute Lyon pour gérer ses émotions.

Psychothérapie à Lyon pour agressivité. Psychothérapeute Lyon pour communication non-violente.


N°ADELI : 690042148

Identifiant RPPS : 10010725090



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LA PSYCHOTHERAPIE ANALYTIQUE FREUDIENNE


En divan ou en face à face selon les besoins du patient.


Le but de cette approche est d’atteindre une meilleure connaissance de soi-même , d’explorer les types de relation qu’on entretient avec les autres mais aussi avec soi-même.


Elle permet d’une part de comprendre ce qui motive tel comportement ou tel symptôme (motivations et enjeux conscients et inconscients) et d’autre part de changer ou au contraire d’ accepter son propre mode de fonctionnement psychique et relationnel.


Mieux se connaître soi-même et s’accepter tel qu’on est, c’est déjà changer, évoluer vers un mieux-être .


En savoir plus sur la psychothérapie Freudienne psychodynamique .


LA PSYCHOTHERAPIE EXISTENTIELLE et HUMANISTE


Cette seconde approche thérapeutique se traduit ainsi :


L'authenticité, l'acceptation, l'empathie au service du sens, de la réalisation de soi , du sentiment de vivre, d'être soi , d'être vivant et partie intégrante de l'environnement au sens large. Cf. Carl Rogers ou ici.


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LA PSYCHOTHÉRAPIE DE COUPLE


La thérapie de couple est indiquée en cas de souffrance et conflit spécifique à l'interaction des personnes composant le couple.

 

Le thérapeute de couple permet de créer un espace où la parole se libère aussi bien individuellement qu'au sein du couple.


Le couple apprend à communiquer autrement, pendant que chaque personne le composant apprend à changer d'angle de vue, éclaircir une situation, exprimer et apaiser une colère, une blessure, passée ou présente. 


Tous les sujets sont évoqués, de la rencontre au dernier conflit, du quotidien à l'intime, de la proximité à la sexualité.


Des exercices peuvent être proposés lors de la consultation ou en dehors.


Parfois, la thérapie est centrée sur la sexualité du couple. Il s'agit alors de la sexothérapie de couple.


Quelles différences entre thérapie de couple et sexothérapie de couple ? Pourquoi consulter un thérapeute de couple ou un sexothérapeute de couple ? Quelles approches et théories pour la thérapie de couple et la sexothérapie de couple ? Quelles conseils et exercices pour les couples ? 

Quelques précisions de la part de votre psychothérapeute sexothérapeute de couple à Lyon.


La thérapie de couple et la sexothérapie de couple sont deux types de thérapies qui se concentrent sur la relation et la communication entre les deux partenaires.


La thérapie de couple est destinée à aider les couples à améliorer leur communication, leur compréhension mutuelle et à résoudre les conflits qui affectent leur relation. Elle se concentre sur les problèmes relationnels généraux, tels que la jalousie, la colère, le manque de confiance, la communication insuffisante, la gestion des conflits, etc.


La sexothérapie de couple se concentre spécifiquement sur les problèmes sexuels dans la relation et vise à aider les couples à surmonter les problèmes sexuels qui peuvent affecter leur relation. Les problèmes sexuels courants incluent la dysfonction érectile, l'éjaculation précoce, le manque d'excitation, la douleur pendant les rapports sexuels, la libido insuffisante ou en excès, etc.


Dans la plupart des cas, nous abordons la sexualité aussi au cours d’une thérapie de couple, et réciproquement, les problèmes plus généraux lors d’une sexothérapie de couple.


Il peut être bénéfique de consulter un thérapeute de couple ou un sexothérapeute de couple lorsque la relation ou les problèmes sexuels sont difficiles à résoudre par eux-mêmes ou lorsque les problèmes persistent malgré les efforts pour les résoudre. Les couples peuvent également consulter un thérapeute de couple ou un sexothérapeute de couple lorsqu'ils souhaitent améliorer leur relation ou leur vie sexuelle.


Les approches et les théories utilisées en thérapie de couple et en sexothérapie de couple sont variées et dépendent des besoins et des préférences des couples. Certaines des approches courantes incluent la théorie freudienne, la sexoanalyse, la thérapie centrée sur la personne, la thérapie de l'attachement, la thérapie brève, la thérapie narrative, etc.


Les conseils et les exercices pour les couples peuvent varier en fonction de la nature des problèmes rencontrés. Cependant, certains conseils généraux incluent l'écoute active, la communication honnête, l'empathie, l'expression des besoins et des préférences, la reconnaissance et l'appréciation mutuelle, la résolution de conflits, etc. Les exercices peuvent inclure des activités de communication, de sensibilisation et d'expression émotionnelle, des activités de renforcement de la confiance, etc.

Les sexothérapeutes peuvent également recommander des exercices spécifiques pour améliorer la communication sexuelle, la sensualité, l'exploration et l'intimité sexuelles.


GIBERT Akim, thérapeute de couple, psychothérapeute, sexothérapeute à Lyon depuis 2003.


Qu'est-ce que la psychothérapie de couple à Lyon ? Pourquoi faire ? Quels sujets sont abordés avec le psychothérapeute à Lyon ?

La psychothérapie de couple est une forme de thérapie qui vise à aider les partenaires d'un couple à résoudre leurs conflits, à améliorer leur communication et à renforcer leur relation. Elle est généralement dirigée par un psychothérapeute à Lyon spécialement formé pour travailler avec des couples comme GIBERT Akim, et peut être utile dans différentes situations, telles que des problèmes de communication, des conflits récurrents, des difficultés émotionnelles, des changements de vie importants, une mésentente ou dans la vie sexuelle, ou simplement lorsque le couple souhaite approfondir et améliorer leur relation.


L'objectif principal de la psychothérapie de couple est de créer un environnement sûr et favorable où les partenaires peuvent explorer leurs problèmes et leurs émotions, et apprendre à mieux se comprendre et à mieux se soutenir mutuellement. Le psychothérapeute de couple joue un rôle de médiateur, de guide et de facilitateur pour aider le couple à naviguer à travers leurs différences et à trouver des solutions constructives à leurs problèmes.


Voici quelques sujets qui peuvent être abordés avec le psychothérapeute lors d'une séance de psychothérapie de couple :


1. Communication : Travailler sur les compétences de communication pour améliorer l'écoute active, l'expression des émotions et le respect mutuel.

2. Conflits et résolution de problèmes : Apprendre à gérer les conflits de manière saine et à trouver des solutions constructives aux problèmes qui se posent dans la relation.

3. Confiance et intimité : Explorer les problèmes de confiance et de vulnérabilité qui peuvent affecter la relation.

4. Gestion du stress et des changements de vie : Faire face aux événements stressants ou aux transitions importantes qui peuvent influencer la dynamique du couple.

5. Attentes et objectifs : Clarifier les attentes mutuelles et les objectifs à court et à long terme pour la relation.

6. Sexualité : Aborder les questions liées à la sexualité et à l'intimité physique.

7. Rôles et responsabilités : Examiner la répartition des rôles et des responsabilités au sein du couple et la manière dont ils influencent la relation.

8. Impact des familles d'origine : Comprendre comment les expériences familiales passées peuvent influencer la relation actuelle.


Chaque couple est unique, donc les sujets abordés peuvent varier en fonction des besoins spécifiques de chaque partenaire et de la situation particulière du couple. La psychothérapie de couple offre un espace sécurisé où les partenaires peuvent parler ouvertement de leurs sentiments, leurs préoccupations et leurs besoins, tout en apprenant des compétences et des stratégies pour améliorer leur relation et leur satisfaction mutuelle. GIBERT Akim, thérapeute de couple à Lyon, vous accueillera dans son cabinet cale met discret pour aider votre couple à (re)trouver un équilibre sécurisant et porteur. 

La psychothérapie de couple est une forme de thérapie qui aide les couples à résoudre leurs problèmes et à améliorer leur communication. Elle peut être utile dans de nombreuses situations, telles que :


- Des conflits fréquents

- Des problèmes de communication

- Des infidélités

- Des problèmes sexuels

- Des troubles de l'attachement

- Des problèmes liés à la parentalité

- Des problèmes de santé mentale

- Des problèmes financiers


La psychothérapie de couple peut être un moyen efficace de résoudre les problèmes et d'améliorer la relation. Le thérapeute aidera le couple à comprendre les causes de leurs problèmes, à développer des compétences de communication et à trouver des solutions qui conviennent aux deux partenaires.

Les sujets abordés en psychothérapie de couple peuvent varier en fonction des besoins spécifiques du couple. Cependant, certains sujets communs incluent :


• La communication

• Les conflits

• Les besoins et les attentes

• Les rôles et les responsabilités

• La sexualité

• La parentalité

• Les finances

• La santé mentale

• Les problèmes liés au passé


La psychothérapie de couple peut être un processus difficile, mais elle peut également être très gratifiante. En travaillant ensemble, les couples peuvent surmonter leurs problèmes et construire une relation plus forte et plus épanouissante.

Voici quelques-uns des avantages de la psychothérapie de couple :


• Amélioration de la communication

• Réduction des conflits

• Augmentation de la satisfaction sexuelle

• Renforcement de l'attachement

• Amélioration de la parentalité

• Réduction du stress

• Amélioration de la santé mentale

• Amélioration de la vie sexuelle

• Amélioration de la qualité de vie


Si vous envisagez de suivre une psychothérapie de couple à Lyon, il est important de trouver un psychothérapeute qualifié et expérimenté tel que GIBERT Akim, thérapeute de couple depuis 2009. Vous pouvez demander des recommandations à votre médecin, à un ami ou à un membre de votre famille. Vous pouvez également trouver des thérapeutes de couple en ligne ou dans votre communauté, ou regarder les avis à propos de GIBERT Akim.

En savoir plus sur la thérapie de couple à Lyon.


LA THERAPIE PSYCHOCORPORELLE



La thérapie psychocorporelle ou psycho-corporelle consiste à libérer l'esprit nos souffrances en passant par le corps, les ressentis et les symboles qui leurs sont liés. Plus d'infos sur la thérapie psychocorporelle ici.




MES MAÎTRES A PENSER


S. FREUD,  D. WINNICOTT,  R. ROUSSILLON,  B. CHOUVIER,  C. ROGERS.

Approche holistique et psychologie intégrative pour mieux vous accompagner.


Freud : « prêter son Moi » au patient durant la psychothérapie ?

Lorsque Sigmund Freud parle de "prêter son Moi" au patient dans le contexte de la psychothérapie, il fait référence à un concept de son approche psychanalytique. Cela signifie que le psychothérapeute doit temporairement suspendre ou mettre de côté ses propres jugements, émotions et préconceptions personnelles afin de comprendre et de ressentir le monde intérieur du patient à partir de la perspective de ce dernier.


Plus spécifiquement, lorsque le thérapeute "prête son Moi" au patient, il s'efforce de se mettre à la place du patient, d'adopter son point de vue émotionnel, cognitif et subjectif. Cette attitude permet au thérapeute de mieux ressentir et comprendre les pensées, les émotions, les conflits inconscients et les motivations du patient, tels qu'ils sont exprimés dans la relation thérapeutique.



En mettant de côté ses propres réactions personnelles et en s'engageant dans une attitude empathique, le thérapeute crée un espace où le patient peut se sentir en sécurité pour explorer ses pensées et ses émotions les plus profondes. Cela favorise la création d'une alliance thérapeutique solide et encourage le patient à être plus ouvert et honnête dans la communication.


En somme, "prêter son Moi" au patient selon Freud implique une empathie profonde, une capacité à se mettre à la place du patient et à ressentir ce qu'il ressent, tout en maintenant une distance suffisante pour ne pas perdre la clarté de la perspective du thérapeute. Cette approche peut favoriser une compréhension approfondie des dynamiques psychologiques du patient et faciliter le processus de guérison et de transformation.


QU’EST-CE QUE LE MEDIUM MALLEABLE SELON RENE ROUSSILLON ?

Le concept de "médium malléable" a été développé par le psychologue et psychothérapeute français René Roussillon. Il fait référence à la capacité d'adaptation et de transformation du psychothérapeute dans le contexte de la psychothérapie. Selon Roussillon, le thérapeute doit être capable de moduler sa manière d'interagir avec le patient en fonction des besoins spécifiques de celui-ci, de manière à créer un espace de compréhension et de transformation mutuelle.


Les principes clés du médium malléable incluent :

1. Flexibilité et Adaptation : Le psychothérapeute doit être en mesure de s'adapter aux besoins et aux réactions du patient, plutôt que de suivre un modèle théorique rigide.

2. Empathie et Compréhension : Le médium malléable implique une compréhension empathique des émotions, des pensées et des expériences du patient. Le thérapeute doit être capable de ressentir et de comprendre ce que le patient vit, tout en restant conscient de sa propre subjectivité.

3. Créativité et Spontanéité : Le psychothérapeute doit être capable d'utiliser sa créativité et sa spontanéité pour répondre aux besoins du moment dans la relation thérapeutique. Cela peut impliquer des interventions non prévues, des réponses inattendues et une utilisation flexible de différentes techniques.

4. Co-création du sens : Le médium malléable encourage la co-création du sens entre le thérapeute et le patient. Plutôt que d'imposer une interprétation, le psychothérapeute collabore avec le patient pour explorer et construire ensemble des significations.

5. Réflexivité : Le psychothérapeute doit être conscient de son propre état émotionnel, de ses réactions et de ses motivations, tout en maintenant une réflexion constante sur la dynamique thérapeutique.


En termes d'application en psychologie et en psychothérapie, le concept de médium malléable propose une approche relationnelle et interactive. Il met en avant la qualité de la relation entre le thérapeute et le patient, en mettant l'accent sur la compréhension profonde, l'acceptation inconditionnelle et la capacité à s'adapter aux besoins changeants du patient. Cela peut contribuer à créer un espace thérapeutique où le patient se sent écouté, compris et soutenu, ce qui facilite le processus de transformation et de guérison.


CARL ROGERS ET SON APPROCHE


Le grand public connait moins C. ROGERS Freud. Voici donc quelques explications.


"Confiance, respect, empathie et authenticité sont les maîtres-mots de l'Approche Centrée sur la Personne (ACP), qui laisse le patient guider lui-même son évolution.


L’ACP, méthode mise au point par le célèbre psychologue américain Carl Rogers, se veut centrée sur la personne et non sur un problème, une maladie ou un symptôme particulier. Elle repose sur la conviction que l’homme possède un fort potentiel d’évolution et d’épanouissement inné qui se développe de lui-même pour peu qu’il bénéficie d’un contexte favorable. Il s’agit donc de relancer ce processus spontané qui a été entravé.


Le psychothérapeute s’efforce d’instaurer un climat sécurisant, de faciliter l’expression de son "client", de lui apprendre à se fier à ce qu’il ressent pour développer son autonomie et améliorer ses relations avec les autres. Carl Rogers a remplacé le mot patient par "client" pour souligner le rôle actif de ce dernier : lui seul sait ce qui lui convient, c’est donc à lui de mener la démarche thérapeutique. Le thérapeute ne peut en aucun cas se substituer à lui, c’est pourquoi il n’impose rien, ne conseille et n’interprète pas, mais accompagne la personne dans son travail d’évolution et de changement."


https://www.psychologies.com/Therapies/Toutes-les-therapies/Psychotherapies/Articles-et-Dossiers/L-approche-centree-sur-la-personne



"La compréhension empathique
Il s’agit de la capacité à entrer dans le monde de l’autre comme s’il s’agissait du sien propre afin de le comprendre.

La compréhension empathique est issue de la préoccupation du thérapeute pour le monde perceptif et subjectif du client. Le thérapeute essaie de percevoir le monde du client sans se laisser submerger par celui-ci. Il en accepte toutes les colorations, les contradictions, en faisant abstraction de tous ses préjugés, de toutes ses valeurs. Il aura pour objectif de transmettre au client sa compréhension de ce qui se passe à un moment précis. Le thérapeute vérifie sa compréhension du monde du client à travers les réponses reflet, la synthèse, la reformulation, …


La congruence

Carl Rogers parle aussi d’authenticité. C’est la cohérence entre l’expérience, la conscience de soi et ce qui est exprimé.

Cela concerne sa capacité à être correctement en contact avec la complexité des sentiments, des pensées, des attitudes qui sont en train de circuler en lui tandis qu’il cherchera à suivre à la trace les pensées, les sentiments de son client. Il revient au thérapeute de discerner quand et comment communiquer ce qu’il éprouve pour autant que cela puisse être approprié pour le client dans la relation thérapeutique.


La considération positive inconditionnelle
C’est le fait de porter sur autrui un regard positif et respectueux, sans jugement, fondé sur la confiance dans son autoréalisation. Acceptation totale et inconditionnelle du client tel qu’il apparaît à lui-même dans le présent. Elle ne dépend en aucune façon de critères moraux, éthiques ou sociaux. Pour Carl Rogers, ce qu’il y a de plus profond au cœur de l’homme est digne de confiance."


https://www.lepsychologue.be/articles/congruence-acceptation-empathie.php

https://www.acpfrance.fr/quest-ce-que-lapproche-centree-sur-la-personne-acp/

 


Votre Psychothérapeute à Lyon Villeurbanne,

GIBERT Akim.


Qu'est-ce que la psychothérapie telle que pratiquée dans mon cabinet à Lyon 3 ?


La psychothérapie et la psychologie sont des approches thérapeutiques qui permettent de soulager, d'apaiser et de débloquer des souffrances psychiques et psychologiques, de renforcer la confiance en soi, de dépasser des phobies, de mieux gérer les émotions, de surmonter des difficultés relationnelles, de faire face à des événements traumatisants, de faire des changements et d'évoluer.


La psychothérapie est un processus de guérison et d'évolution qui implique une collaboration entre le patient et le thérapeute. Le psychothérapeute est un professionnel qualifié et expérimenté qui écoute, soutient, accompagne et guide le patient dans le processus de guérison. La relation de confiance, l'empathie, l'écoute active et la bienveillance sont des éléments clés de la psychothérapie.


Il existe différentes approches de la psychothérapie, chacune avec sa propre théorie et ses propres méthodes. Les psychothérapies psychanalytiques, par exemple, se concentrent sur l'exploration de l'inconscient, les souvenirs refoulés, les conflits et les dynamiques psychiques. Les psychothérapies humanistes existentielles, en revanche, mettent l'accent sur la prise de conscience, la croissance personnelle, l'expression émotionnelle et la recherche de sens. Les psychothérapies centrées sur la solution se concentrent sur les solutions plutôt que sur les problèmes, en aidant les patients à trouver des solutions pratiques et des stratégies d'adaptation. Ce sont trois types de psychothérapies utilisés par votre psychothérapeute à Lyon : GIBERT Akim.


La psychothérapie peut être efficace pour traiter de nombreux troubles, tels que la dépression, l'anxiété, les TOC, la phobie, le stress, la timidité, la colère, la tristesse, le deuil, la séparation et les traumatismes, les difficultés ou blocages sexuels. Elle peut également aider à améliorer la qualité du sommeil, la gestion des émotions, la prise de conscience et la confiance en soi.


Il est important de noter que la psychothérapie n'est pas adaptée à toutes les personnalités. Les personnalités anxieuses peuvent bénéficier de certaines approches, mais pas d'autres. Il est donc important de choisir un psychothérapeute qui soit adapté à la personnalité et aux besoins de chaque patient, à l’instar de GIBERT Akim, psychothérapeute holistique utilisant une approche intégrative pour un suivi complet et personnalisé pour mieux vous accompagner.


La sexualité et le désir sont des sujets souvent abordés en psychothérapie, car ils peuvent être liés à des complexes, des problèmes relationnels et des événements traumatiques. Les stades de développement, de l'enfance à l’âge adulte, peuvent également être explorés en psychothérapie pour mieux comprendre les schémas de pensée et de comportement.


Enfin, il est important de savoir que l'efficacité de la psychothérapie dépend du sérieux et de la collaboration du patient, de la compétence, de l'expérience et de la qualité d’écoute du psychothérapeute, et de l’alliance thérapeutique entre eux deux. La recherche montre que la psychothérapie peut être très efficace pour améliorer la qualité de vie et favoriser la guérison.


Qu'est-ce que la psychothérapie Freudienne pratiquée par votre psychothérapeute à Lyon ?


La psychothérapie freudienne, également appelée psychodynamique, est une approche thérapeutique fondée sur les travaux du célèbre psychanalyste Sigmund Freud. Elle se concentre sur les conflits et les tensions inconscients qui peuvent influencer le comportement et les émotions d'une personne.


L'alliance thérapeutique est un élément clé de la psychothérapie psychodynamique, qui consiste en une relation collaborative et empathique entre le psychothérapeute et le patient.


La résistance est un mécanisme de défense qui peut entraver le processus de guérison en empêchant le patient de parler de sujets difficiles ou douloureux. C'est pourquoi dans mon cabinet psychothérapie à Lyon, je tâcherai de vous mettre le plus à l'aise possible et je vous inviterai à laisser venir les choses telles qu'elles viennent, à parler sans retenir, sans vous autocensurer.


Le transfert et le contre-transfert sont des phénomènes où le patient projette des sentiments ou des comportements sur le thérapeute, et où le thérapeute peut également ressentir des émotions ou des réactions envers le patient. Mais GIBERT Akim, votre psychothérapeute à Lyon, est formé pour analyser ce transfert et ce contre-transfert. S'il le faut, j'ai également recours à des confrères et consœurs en supervision.


La première topique se concentre sur les niveaux conscients et inconscients de l'esprit, tandis que la deuxième topique s'intéresse aux processus mentaux liés à la réalité extérieure.


Les stades de développement de l'enfance selon Freud sont l'oral, l'anal, le phallique, le stade de latence et le stade génital. Chaque stade est associé à des défis spécifiques et à des modes de relation particuliers. En psychothérapie, nous explorons justement ces modes de relation dans votre enfance mais également dans votre vie actuelle.


Les types d'angoisse en psychothérapie psychodynamique comprennent l'angoisse de la séparation, l'angoisse de castration, l'angoisse de la perte d'amour, l'angoisse de la mort et l'angoisse de la culpabilité. Votre psychothérapeute à Lyon travaillera avec vous pour vous aider à dépasser ses angoisses.


Les mécanismes de défense sont des stratégies mentales que les personnes utilisent pour faire face à l'anxiété et à d'autres émotions inconfortables. Ils comprennent la répression (éviter délibérément de penser à des problèmes, des désirs, des sentiments ou des expériences pénibles), la projection, le déni, la sublimation et d'autres. Nous les mettrons en avant pour apprendre à fonctionner autrement lorsque cela s'avère nécessaire. 


Les conflits psychiques sont des tensions internes qui résultent de forces contradictoires dans l'esprit. Les complexes sont des modèles de pensée et de comportement rigides qui se forment autour de ces conflits. En psychothérapie, nous mettrons en exergue les conflits pour trouver les moyens de les apaiser, de les résoudre.


Les phobies, les TOC et les névroses sont des troubles psychologiques courants qui peuvent être traités avec la psychothérapie. La psychothérapie freudienne exercée par votre psychothérapeute à Lyon, peut être utile également pour gérer les angoisses, prendre confiance en soi, oser être soi-même, retrouver de l'élan vitale, répondre à des questionnements ou doutes existentielles, dépasser des difficultés relationnelles émotionnelles, sexuelles, professionnelles, briser des chaînes ou des schémas, apaiser un traumatisme, travailler une séparation difficile, une perte, un deuil à élaborer.


GIBERT Akim psychothérapeute à Lyon 3 Montchat limite Villeurbanne.

Pourquoi consulter un psychothérapeute Lyon ? Quel est le rôle d'un psychothérapeute ? Quels sont les motifs de consultation les plus fréquentes en psychothérapie à Lyon ? Quels types de psychothérapies existent. Comment un psychothérapeute peut aider à vaincre une peur, une phobie, un blocage ? Comment un psychothérapeute peut aider à prendre confiance en soi, à gagner en estime de soi-même, avoir une meilleure image de soi ?

Consulter un psychothérapeute peut être bénéfique dans de nombreuses situations. Voici quelques raisons courantes pour lesquelles les patients choisissent de consulter un psychothérapeute à Lyon :


1. Problèmes de santé mentale : Si vous souffrez de troubles tels que la dépression, l'anxiété, le trouble bipolaire, le trouble de stress post-traumatique (TSPT) ou toute autre condition psychologique, un psychothérapeute peut vous aider à gérer ces problèmes et à améliorer votre bien-être émotionnel.

2. Gestion du stress : Si vous vous sentez submergé par le stress lié au travail, aux relations, aux études ou à d'autres facteurs de stress de la vie quotidienne, un psychothérapeute peut vous enseigner des techniques pour gérer efficacement le stress et vous aider à retrouver un équilibre émotionnel.

3. Problèmes relationnels : Si vous rencontrez des difficultés dans vos relations personnelles, qu'il s'agisse de problèmes familiaux, de conflits de couple ou de difficultés de communication, un psychothérapeute peut vous aider à développer des compétences relationnelles saines et à résoudre les conflits de manière constructive.

4. Traumatisme : Si vous avez vécu un événement traumatique tel qu'un accident, un abus ou une perte douloureuse, un psychothérapeute formé en traumatologie peut vous aider à surmonter les effets psychologiques du traumatisme et à retrouver un sentiment de sécurité et de stabilité.

5. Problèmes de comportement : Si vous luttez contre des comportements compulsifs, des addictions, des troubles de l'alimentation ou d'autres habitudes nuisibles, un psychothérapeute peut vous aider à comprendre les causes sous-jacentes de ces comportements et à développer des stratégies pour les surmonter.


Le rôle d'un psychothérapeute à Lyon est d'aider les personnes à résoudre leurs problèmes émotionnels, comportementaux et relationnels en leur fournissant un espace sûr et confidentiel pour parler de leurs préoccupations. Le psychothérapeute utilise différentes approches thérapeutiques pour aider les clients à comprendre les pensées et les émotions qui contribuent à leurs difficultés et à développer des compétences pour surmonter ces problèmes.

Il existe plusieurs types de psychothérapies, chacune ayant ses propres principes et techniques. Voici quelques-unes des approches les plus courantes :


1. Thérapie cognitivo-comportementale (TCC) : Cette approche se concentre sur la modification des schémas de pensée négatifs et des comportements problématiques afin d'améliorer l'humeur et le fonctionnement global.

2. Thérapie psychodynamique : Cette approche se base sur l'exploration des processus inconscients et des expériences passées pour comprendre et résoudre les conflits émotionnels.

3. Thérapie humaniste : Cette approche met l'accent sur la croissance personnelle, l'auto-exploration et la prise de conscience de soi pour favoriser le développement personnel et le bien-être.

4. Thérapie familiale et thérapie de couple : Ces approches se concentrent sur les dynamiques relationnelles et aident les familles et les couples à résoudre des difficultés de communication ou des situations relationnelles conflictuelles (attentes, désirs, besoins, soutien, écoute, rejet par exemple).


Comment un psychothérapeute à Lyon peut aider à vaincre l'anxiété, une peur, une phobie, une angoisse ? Comment un psychothérapeute peut aider à prendre confiance en soi, à gagner en estime de soi-même, avoir une meilleure image de soi ? Comment un psychothérapeute peut aider à se remettre d'une perte d'une séparation d'un deuil ? Comment un psychothérapeute peut aider à se remettre d'un traumatisme, d'une agression ou d'un accident ?

Un psychothérapeute à Lyon peut aider à vaincre l'anxiété, la peur, la phobie et l'angoisse de différentes manières. Voici quelques approches couramment utilisées :


1. Thérapie cognitivo-comportementale (TCC) : Cette approche aide les individus à identifier et à changer les schémas de pensée négatifs ou irrationnels qui contribuent à l'anxiété ou à la peur. Elle implique également l'exposition progressive aux situations redoutées afin de diminuer progressivement l'anxiété associée.

2. Techniques de relaxation et de gestion du stress : Un psychothérapeute peut enseigner des techniques de relaxation telles que la respiration profonde, la méditation ou la visualisation guidée pour aider à réduire l'anxiété et le stress. Des compétences de gestion du stress peuvent également être enseignées pour aider les individus à faire face de manière plus efficace aux situations stressantes.

3. Thérapies axées sur les émotions : Certaines approches thérapeutiques mettent l'accent sur l'exploration et la régulation des émotions liées à l'anxiété ou à la peur. Cela peut inclure l'apprentissage de stratégies d'acceptation et de tolérance émotionnelle, ainsi que le développement de compétences pour réguler les émotions intenses.


Concernant la confiance en soi, l'estime de soi et l'image de soi, un psychothérapeute peut aider de différentes manières :


1. Thérapie basée sur l'estime de soi : Cette approche thérapeutique se concentre spécifiquement sur le développement et le renforcement de l'estime de soi. Elle peut impliquer l'exploration des pensées et des croyances négatives sur soi-même, l'identification des forces et des réalisations personnelles, ainsi que l'apprentissage de compétences d'affirmation de soi.

2. Thérapie d'acceptation et d'engagement (ACT) : Cette approche aide les individus à se libérer des jugements négatifs sur eux-mêmes et à se concentrer sur leurs valeurs et leurs objectifs personnels. Elle encourage l'acceptation de soi et la prise de mesures pour vivre une vie significative et épanouissante, indépendamment des pensées ou des critiques internes.

3. Thérapie centrée sur les solutions : Cette approche met l'accent sur l'identification et l'utilisation des ressources et des compétences existantes pour promouvoir le changement. Un psychothérapeute peut aider les individus à identifier leurs forces, à fixer des objectifs réalistes et à prendre des mesures positives pour les atteindre.


Lorsqu'il s'agit de se remettre d'une perte, d'une séparation, d'un deuil, d'un traumatisme, d'une agression ou d'un accident, un psychothérapeute peut aider de différentes manières :



1. Soutien émotionnel : Un psychothérapeute peut fournir un soutien et une écoute empathique lors de périodes difficiles, offrant un espace sécurisé pour exprimer et traiter les émotions associées à la perte, au traumatisme ou à l'agression.

2. Thérapie de deuil, si vous avez perdu un être cher.


Comment un psychothérapeute à Lyon peut aider à se remettre d'une perte d'une séparation d'un deuil ? Comment un psychothérapeute peut aider à se remettre d'un traumatisme, d'une agression ou d'un accident ?

Un psychothérapeute à Lyon peut aider à se remettre d'une perte, d'une séparation ou d'un deuil de différentes manières :


  Soutien émotionnel : Le psychothérapeute peut offrir un soutien émotionnel et une présence bienveillante pendant cette période difficile. Il peut aider à exprimer et à comprendre les émotions liées à la perte, à la séparation ou au deuil, en offrant un espace sécurisé pour le partage et le traitement des sentiments.


  Gestion du deuil : Le psychothérapeute peut aider à naviguer à travers les différentes étapes du processus de deuil, en fournissant des informations sur les réactions normales face à la perte, en offrant des stratégies pour faire face aux souvenirs douloureux et en soutenant l'ajustement à une nouvelle réalité.


  Exploration du sens et de l'identité : La perte d'une relation ou d'un être cher peut remettre en question le sens de la vie et l'identité de la personne. Un psychothérapeute peut aider à explorer ces questions existentielles, à trouver un nouveau sens et à reconstruire une identité post-perte.


Pour se remettre d'un traumatisme, d'une agression ou d'un accident, un psychothérapeute à Lyon peut utiliser les approches suivantes :


  Thérapie de traumatisme : Le psychothérapeute formé en thérapie de traumatisme peut aider à surmonter les effets psychologiques du traumatisme en fournissant un environnement sûr et en utilisant des techniques spécifiques telles que la désensibilisation et le retraitement des informations traumatisantes (EMDR), la thérapie cognitivo-comportementale (TCC) axée sur le traumatisme ou d'autres approches fondées sur des preuves.


  Régulation des émotions : Les traumatismes peuvent entraîner une dysrégulation émotionnelle, telle que l'hypervigilance, la colère intense ou la détresse émotionnelle. Un psychothérapeute peut aider à développer des compétences de régulation émotionnelle, telles que la respiration profonde, la relaxation, la pleine conscience ou l'expression émotionnelle contrôlée.


  Reconstruction de la sécurité et de la confiance : Les traumatismes peuvent ébranler le sentiment de sécurité et de confiance en soi. Un psychothérapeute peut aider à restaurer ces aspects en travaillant sur la reconstruction de la sécurité intérieure, la réévaluation des croyances négatives sur soi-même et le développement de nouvelles compétences d'adaptation face aux situations stressantes.


Il est important de noter que chaque individu est unique, et le psychothérapeute adaptera son approche en fonction des besoins spécifiques de la personne.


Quelles sont les spécificités, les points communs et les différences de la thérapie freudienne et la thérapie rogérienne ? Comment le patient doit-il se comporter et quelle attitude doit-il avoir pour que la psychothérapie fonctionne ?

La thérapie freudienne, également connue sous le nom de psychanalyse, et la thérapie rogerienne, également appelée approche centrée sur la personne, sont deux approches de la psychothérapie qui diffèrent à la fois dans leurs fondements théoriques et leurs méthodes.

Voici quelques spécificités, points communs et différences entre la thérapie freudienne et la thérapie rogerienne :


Thérapie freudienne (psychanalyse) :


• Fondements théoriques : La thérapie freudienne est basée sur les théories psychanalytiques de Sigmund Freud. Elle se concentre sur l'exploration des conflits inconscients, l'interprétation des rêves, la libre association et l'analyse des résistances et des transferts.

• Relation thérapeutique : Le thérapeute adopte une position plus neutre et analytique, cherchant à interpréter les pensées, les émotions et les expériences inconscientes du patient.

• Durée de la thérapie : La thérapie freudienne est souvent de longue durée, avec des séances fréquentes et une exploration en profondeur du passé du patient.


Thérapie rogerienne (approche centrée sur la personne) :


• Fondements théoriques : La thérapie rogerienne, développée par Carl Rogers, met l'accent sur la théorie de la personne centrée sur le client. Elle valorise l'empathie, la congruence et l'acceptation inconditionnelle du thérapeute, ainsi que la tendance naturelle du patient à se développer et à s'actualiser.

• Relation thérapeutique : Le thérapeute adopte une attitude empathique, chaleureuse et non directive, en écoutant activement le patient et en le soutenant dans son processus d'exploration et de croissance personnelle.

• Durée de la thérapie : La thérapie rogerienne peut être de durée variable, allant de quelques séances à une thérapie de plus longue durée, en fonction des besoins et des objectifs du patient.


Points communs :


• Les deux approches considèrent la relation thérapeutique comme un élément essentiel du processus de guérison et de croissance.

• Elles mettent toutes deux l'accent sur l'importance d'un espace thérapeutique sûr et confidentiel.

• Les deux approches considèrent que le patient a le potentiel de se comprendre et de se guérir.


Attitude et comportement du patient pour que la psychothérapie à Lyon fonctionne :


• Ouverture et honnêteté : Le patient doit être prêt à partager ses pensées, émotions et expériences de manière ouverte et honnête avec le thérapeute.

• Engagement et participation active : Le patient doit être engagé dans le processus thérapeutique et prêt à participer activement aux séances, à explorer ses problèmes et à mettre en pratique les conseils et les exercices proposés.

• Confiance et collaboration : Le patient doit avoir confiance en son thérapeute et être prêt à collaborer avec lui pour atteindre les objectifs thérapeutiques convenus.


Il est important de noter que chaque personne est unique, et que le succès de la psychothérapie dépend également de la relation thérapeutique, de l’empathie et du professionnalisme du psychothérapeute à Lyon, et de l’engagement et l’investissement du patient ou de la patiente.


GIBERT Akim, psychothérapeute à Lyon depuis 2003, formé l’hypnose thérapeutique et à la sexothérapie ou pour femme, homme et couple (thérapie de couple & sexothérapie de couple).


Quelles sont les différences entre un psychiatre, un psychologue clinicien et un psychothérapeute ? Quels types de psychothérapies propose un psychiatre, un psychologue puis un psychothérapeute ? Comment savoir s’il est préférable de consulter un psychiatre, un psychologue clinicien ou un psychothérapeute à Lyon ? Quel est le meilleur Psychothérapeute à Lyon pour les thérapies de couples ? pour la confiance en soi ? pour gérer ses émotions et l’anxiété ?


Un psychiatre, un psychologue clinicien et un psychothérapeute sont des professionnels de la santé mentale, mais ils ont des rôles différents et des formations distinctes. Voici les principales différences :


Psychiatre :

• Formation médicale : un psychiatre est un médecin spécialisé en psychiatrie. Il a suivi des études de médecine, suivi d'une spécialisation en psychiatrie.

• Capacité à prescrire des médicaments : en raison de leur formation médicale, les psychiatres sont autorisés à prescrire des médicaments pour traiter les troubles mentaux.

• Traitement des troubles mentaux complexes : les psychiatres sont généralement spécialisés dans le diagnostic et le traitement des troubles mentaux plus graves, tels que la schizophrénie, la dépression sévère, les troubles bipolaires, etc.

• Psychothérapie : bien que certains psychiatres pratiquent également la psychothérapie, leur formation met davantage l'accent sur les aspects médicaux et l'utilisation de médicaments.


Psychologue clinicien :

• Formation en psychologie : un psychologue clinicien a obtenu un diplôme universitaire en psychologie, suivi d'une formation spécialisée en clinique.

• Évaluation et diagnostic : les psychologues cliniciens sont formés pour évaluer les problèmes de santé mentale, effectuer des diagnostics et proposer des plans de traitement.

• Psychothérapie : les psychologues cliniciens sont principalement formés pour pratiquer la psychothérapie. Ils utilisent différentes approches thérapeutiques pour traiter les troubles mentaux et les problèmes émotionnels.


Psychothérapeute :

• Formation variée : le terme "psychothérapeute" est plus général et peut englober différents professionnels ayant suivi une formation spécifique en psychothérapie, tels que des psychologues cliniciens, des psychiatres, des travailleurs sociaux cliniciens, etc.

• Approches thérapeutiques diverses : les psychothérapeutes peuvent utiliser différentes approches thérapeutiques, telles que la thérapie cognitivo-comportementale, la thérapie psychodynamique, la thérapie familiale, etc.

• Pas de prescription de médicaments : les psychothérapeutes, sauf s'ils sont également psychiatres, ne sont pas autorisés à prescrire des médicaments.


Il est important de noter que le meilleur choix de thérapeute pour un individu dépend de ses besoins spécifiques et de la nature de ses problèmes. Concernant les thérapies de couple, la confiance en soi, la gestion des émotions et l'anxiété, chaque professionnel de santé peut offrir une aide appropriée, mais il est préférable de choisir en fonction de leur formation, expérience et de l'approche thérapeutique qui vous convient le mieux. Par exemple, un psychothérapeute expérimenté dans les thérapies de couple peut être une bonne option pour les problèmes relationnels, tandis qu'un psychothérapeute spécialisé en hypnothérapie peut être plus approprié pour la gestion de l'anxiété. Il est recommandé de rechercher des professionnels qualifiés, de vérifier leurs qualifications, leur expérience et de prendre en compte les recommandations d'autres personnes. Une bonne relation thérapeutique est également essentielle pour bien choisir son psy à Lyon ou ailleurs.


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Qu'est-ce que l'angoisse d’abandon ? Comment se traduit-elle  ? comment une psychothérapie peut aider une personne souffrant d'angoisse d’abandon ? Quel type de psychothérapie est la plus adaptée pour traiter et dépasser l'angoisse d'abandon ?


L'angoisse d'abandon est un concept psychologique qui décrit la peur intense et persistante d'être abandonné ou rejeté par les autres. Cette angoisse peut avoir des origines diverses, notamment des expériences passées de séparation, de perte ou de négligence dans les relations interpersonnelles, en particulier dans l'enfance. Les personnes souffrant d'angoisse d'abandon peuvent avoir du mal à se sentir en sécurité et à maintenir des relations saines, car elles anticipent constamment l'abandon ou le rejet.


Chez les adultes, l'angoisse d'abandon peut se traduire par divers symptômes et comportements. Certaines personnes peuvent devenir excessivement dépendantes des autres, cherchant constamment leur approbation et leur validation. Elles peuvent également éprouver une anxiété extrême lorsqu'elles se sentent seules ou lorsque leurs proches s'éloignent, même temporairement. D'autres peuvent adopter des comportements d'évitement ou de retrait pour éviter toute situation potentiellement stressante liée à l'abandon.


La psychothérapie peut être un outil précieux pour aider une personne souffrant d'angoisse d'abandon. Elle peut offrir un espace sûr et bienveillant pour explorer les origines de cette angoisse, comprendre ses schémas de pensée et de comportement associés, et développer des stratégies pour y faire face de manière plus saine.

Différents types de psychothérapie peuvent être utiles pour traiter et dépasser l'angoisse d'abandon. Voici quelques approches couramment utilisées :


1. La thérapie psychodynamique : Cette approche se concentre sur l'exploration des expériences passées et de l'inconscient afin de comprendre les racines profondes de l'angoisse d'abandon. La relation thérapeutique est utilisée comme un terrain d'expérimentation pour mieux comprendre les schémas relationnels et développer de nouvelles façons d'interagir avec les autres.

2. La thérapie cognitivo-comportementale (TCC) : Cette approche met l'accent sur l'identification et la modification des schémas de pensée négatifs et des comportements dysfonctionnels liés à l'angoisse d'abandon. La TCC utilise des techniques telles que la restructuration cognitive et l'exposition progressive pour aider la personne à développer de nouvelles réponses face à l'abandon perçu.

3. La thérapie de groupe : Participer à une thérapie de groupe peut être bénéfique pour les personnes souffrant d'angoisse d'abandon, car cela leur offre l'occasion de partager leurs expériences avec d'autres personnes confrontées à des problèmes similaires. Cela peut favoriser la compréhension, l'acceptation et l'apprentissage de nouvelles compétences relationnelles.

4. La thérapie d'attachement : Cette approche se concentre sur les schémas d'attachement formés dans l'enfance et sur la façon dont ils se manifestent dans les relations adultes. La thérapie d'attachement vise à développer un sentiment de sécurité interne et à favoriser des relations interpersonnelles plus saines et plus satisfaisantes.


L’angoisse d’abandon est une peur irrationnelle et excessive d’être quitté ou rejeté par les personnes auxquelles on est attaché. Elle peut se manifester par des comportements de dépendance affective, de jalousie, de possessivité, de contrôle ou de fuite. Elle peut aussi entraîner une faible estime de soi, un sentiment de vide intérieur, une difficulté à être seul ou à s’engager dans une relation.


L’angoisse d’abandon peut avoir des origines diverses, comme des expériences traumatisantes dans l’enfance (séparation, maltraitance, carence affective…), des ruptures amoureuses douloureuses, des pertes significatives ou selon certains courants psychologiques des transmissions familiales.


Une psychothérapie peut aider une personne souffrant d’angoisse d’abandon à surmonter ses difficultés et à améliorer ses relations aux autres. Il existe plusieurs types de psychothérapies qui peuvent être adaptées pour traiter et dépasser l’angoisse d’abandon, comme :

• La thérapie cognitivo-comportementale (TCC), qui vise à identifier et modifier les croyances erronées ou les schémas relationnels qui alimentent l’angoisse d’abandon. Elle propose aussi des techniques pour gérer les émotions et les comportements dysfonctionnels.

• La thérapie interpersonnelle (TIP), qui se focalise sur les difficultés relationnelles du patient et sur l’impact de ses expériences passées ou présentes sur son humeur. Elle aide le patient à développer des compétences sociales et à renforcer son soutien social.

• La thérapie psychodynamique, qui explore les conflits inconscients du patient et les liens entre son histoire personnelle et son angoisse d’abandon. Elle vise à favoriser la prise de conscience et le changement chez le patient.

• La thérapie familiale, qui implique le patient et ses proches dans un processus thérapeutique commun. Elle permet de comprendre les interactions familiales et les éventuelles transmissions intergénérationnelles de l’angoisse d’abandon. Elle vise à améliorer la communication et la cohésion au sein de la famille.


Angoisse d'abandon et dépression. Comment en sortir ?


L'angoisse d'abandon et la dépression sont deux problèmes distincts mais peuvent souvent être liés. L'angoisse d'abandon peut contribuer au développement d'une dépression, et inversement, la dépression peut intensifier l'angoisse d'abandon. Pour sortir de cette situation, il est généralement recommandé de suivre une approche multidimensionnelle impliquant à la fois des interventions thérapeutiques et, dans certains cas, un traitement médical. Voici quelques points clés à considérer :



1. Consultez un professionnel de la santé : Si vous souffrez d'angoisse d'abandon et de dépression, il est important de consulter un professionnel de la santé mentale, comme un psychologue, un psychothérapeute ou un psychiatre. Ils peuvent vous aider à évaluer votre situation, à établir un diagnostic précis et à élaborer un plan de traitement adapté à vos besoins spécifiques.

2. Psychothérapie : La psychothérapie, en particulier les approches telles que la thérapie cognitivo-comportementale (TCC), la thérapie psychodynamique ou la thérapie d'attachement, peut être très utile pour traiter à la fois l'angoisse d'abandon et la dépression. Elle peut vous aider à comprendre les schémas de pensée négatifs, à modifier les comportements dysfonctionnels, à explorer les origines de vos difficultés et à développer de nouvelles stratégies d'adaptation.

3. Médicaments : Dans certains cas, un médecin ou un médecin psychiatre peut recommander des médicaments, tels que des antidépresseurs, pour soulager les symptômes de la dépression. Les médicaments peuvent être utilisés en combinaison avec la psychothérapie pour améliorer les résultats du traitement.

4. Réseau de soutien : Il est important de rechercher un soutien social et émotionnel dans votre entourage. Parlez à des amis proches ou à des membres de votre famille de ce que vous traversez, et envisagez de rejoindre des groupes de soutien ou des communautés en ligne où vous pouvez partager vos expériences et obtenir des conseils et un soutien de personnes qui traversent des situations similaires.

5. Autosoins : Prenez soin de vous en adoptant des habitudes de vie saines. Cela peut inclure une alimentation équilibrée, une activité physique régulière, suffisamment de sommeil, des activités de relaxation comme la méditation ou le yoga, et l'identification et la gestion du stress. Offrez-vous des petits plaisirs : moments ou situations dans lesquels vous vous sentez moins mal ou mieux : lâcher-prise sur votre canapé sans culpabiliser, une petite marche dans l’un de vos endroits préférés, par exemple. 

6. Apprenez à vous connaître : Travaillez sur votre estime de soi et votre confiance en vous. Identifiez vos forces et vos valeurs, et engagez-vous dans des activités qui vous apportent du plaisir et un sentiment d'accomplissement.

Il est important de se rappeler que sortir de l'angoisse d'abandon et de la dépression peut prendre du temps et nécessiter un engagement envers le processus de guérison. Soyez patient avec vous-même et n'hésitez pas à demander de l'aide professionnelle lorsque vous en avez besoin.


Pour sortir de l'angoisse d'abandon et de la dépression, il est conseillé de consulter un professionnel de la santé mentale, comme un psychologue un psychothérapeute ou un psychiatre. Il existe plusieurs types de thérapies qui peuvent aider à surmonter ces difficultés, comme la thérapie cognitivo-comportementale, la thérapie interpersonnelle, la thérapie psychodynamique ou la thérapie familiale. Ces thérapies visent à :


- Identifier et modifier les croyances erronées ou les schémas relationnels qui alimentent l'angoisse d'abandon.

- Développer l'estime de soi et l'autonomie affective.

- Apprendre à gérer ses émotions et à exprimer ses besoins.

- Renforcer le soutien social et les relations positives.

- Traiter les éventuels traumatismes ou deuils à l'origine de l'angoisse d'abandon.

- Prévenir les rechutes dépressives et améliorer le bien-être.


Dans certains cas, un traitement médicamenteux peut être prescrit en complément de la psychothérapie, notamment pour soulager les symptômes anxieux ou dépressifs. Les antidépresseurs sont les principaux médicaments utilisés pour traiter la dépression et le trouble panique. Ils agissent sur le fonctionnement des neurotransmetteurs impliqués dans la régulation de l'humeur. Ils doivent être pris sous surveillance médicale et respecter la posologie indiquée.


Quelle différence entre angoisse de séparation et angoisse abandon ? Conséquences et incidences sur la vie de l'enfant de l'adolescent et de l'adulte.

L'angoisse de séparation et l'angoisse d'abandon sont deux types d'angoisses qui peuvent survenir chez les individus à différents stades de leur vie, notamment chez les enfants, les adolescents et les adultes. Bien que ces deux types d'angoisse soient liés à la peur de perdre une figure d'attachement, ils ont des origines et des manifestations différentes. Précisions de la part de voter psychothérapeute à Lyon.


1. Angoisse de séparation : L'angoisse de séparation est courante chez les jeunes enfants, en particulier entre l'âge de 6 mois et 3 ans. Cela se produit lorsque l'enfant est séparé de ses figures d'attachement, généralement les parents ou les soignants principaux. L'enfant peut pleurer, se cramponner ou manifester de l'anxiété lorsqu'il est éloigné de ses figures d'attachement.


Cette angoisse de séparation est normale et adaptative, car elle reflète le développement de l'attachement sécurisé entre l'enfant et ses figures d'attachement. Au fur et à mesure que l'enfant grandit et développe une plus grande confiance dans la disponibilité et la réactivité de ses figures d'attachement, l'angoisse de séparation tend à diminuer.


2. Angoisse d'abandon : L'angoisse d'abandon est une peur intense d'être rejeté ou abandonné par les personnes significatives dans la vie d'un individu, que ce soit des parents, des amis, des partenaires sentimentaux, etc. Cette angoisse est plus courante chez les adolescents et les adultes, bien qu'elle puisse aussi se manifester chez certains enfants, en particulier dans des situations de séparation traumatique ou de perte précoce.

L'angoisse d'abandon peut entraîner des comportements de dépendance émotionnelle, une peur de l'engagement dans les relations, une recherche excessive d'approbation ou des efforts pour éviter toute situation qui pourrait conduire à l'abandon.


Conséquences et incidences sur la vie de l'enfant, de l'adolescent et de l'adulte :


• Chez l'enfant : L'angoisse de séparation normale peut influencer la capacité de l'enfant à explorer son environnement et à développer des compétences sociales. Si cette angoisse est excessive ou prolongée, elle peut interférer avec le développement sain des relations sociales et de l'autonomie.


• Chez l'adolescent : L'angoisse d'abandon peut jouer un rôle dans les relations amoureuses, les amitiés et les relations familiales de l'adolescent. Cela peut également contribuer à des problèmes d'estime de soi et à des comportements d'évitement social.


• Chez l'adulte : L'angoisse d'abandon non résolue peut affecter les relations intimes, entraîner une méfiance excessive envers les autres et créer des schémas de comportement autodestructeurs. Les adultes avec une forte angoisse d'abandon peuvent avoir du mal à maintenir des relations durables et significatives.



Dans tous les cas, il est essentiel de reconnaître et de comprendre ces angoisses afin de pouvoir les traiter de manière appropriée. Une psychothérapie et un soutien psychologique peuvent être bénéfiques pour aider les personnes à gérer leurs angoisses, à développer une plus grande confiance en eux-mêmes et à établir des relations saines et épanouissantes.


GIBERT Akim, votre psychothérapeute à Lyon : psychothérapies holistiques et intégrative.


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Les stades d’évolution en psychologie expliqué par votre psychothérapeute à Lyon 3.

A/ Les différents stades du développement psychique à partir de la phase orale jusqu'à la phase génitale.

Le développement psychique selon la théorie du développement psychosocial de Sigmund Freud, également connus sous le nom de stades psychosexuels. Ces stades couvrent la période de la petite enfance à l'adolescence et sont liés à la façon dont l'énergie psychique, selon Freud, est dirigée vers différentes zones érogènes du corps. Voici les stades classés du développement psychique :


1. Stade oral (0-18 mois) : Au cours de cette période, l'enfant trouve la satisfaction principalement par la bouche. Cela se manifeste par l'allaitement ou l'alimentation, et l'enfant développe un lien affectif important avec sa mère ou son principal soignant. Les conflits non résolus à ce stade peuvent entraîner des problèmes de dépendance ou d'agressivité plus tard dans la vie.


2. Stade anal (18 mois - 3 ans) : Dans cette phase, l'enfant apprend à contrôler ses fonctions d'élimination. L'apprentissage de la propreté et l'expérience des limites parentales jouent un rôle clé dans le développement de l'estime de soi et du contrôle de soi.


3. Stade phallique (3-6 ans) : Au stade phallique, les enfants commencent à prendre conscience de leur propre corps et de la différence entre les sexes. C'est également à ce stade que se développe le complexe d'Œdipe (garçons) ou d'Électre (filles), caractérisé par des sentiments ambivalents envers les parents du sexe opposé. La résolution de ces conflits est cruciale pour le développement de la conscience de genre et des valeurs morales.


4. Stade de latence (6-11 ans) : Ce stade est marqué par une relative absence d'intérêt sexuel. Les enfants se concentrent davantage sur leurs pairs et leurs activités scolaires. C'est une période de socialisation et d'apprentissage.


5. Stade génital (11 ans et plus) : À l'adolescence, l'individu atteint le stade génital, caractérisé par le développement de l'intérêt sexuel et la recherche d'une intimité émotionnelle avec les autres. Les individus commencent à former des relations intimes et cherchent à développer leur identité sexuelle et leur orientation sexuelle.


Bien que votre psychothérapeute à Lyon se réfère à cette théorie, il est important de noter que la théorie de Freud est controversée et critiquée par de nombreux psychologues contemporains. Certaines critiques portent sur son manque de preuves empiriques et sa vision centrée sur l'Inconscient et la sexualité. Cependant, les stades psychosexuels de Freud ont eu une influence significative sur la psychologie du développement et continuent d'être étudiés et discutés dans le domaine de la psychanalyse.


B/ Quels sont les différents stades de l'évolution en psychologie ?

En psychologie, l'évolution des individus est souvent étudiée à travers différents stades de développement. Ces stades ont été proposés par divers psychologues et théoriciens du développement pour décrire les étapes par lesquelles les individus passent tout au long de leur vie. Voici quelques-uns des stades de l'évolution les plus connus :


1. Stade sensori-moteur : Proposé par Jean Piaget, ce stade se produit généralement de la naissance à environ 2 ans. Les bébés développent leur compréhension du monde principalement à travers leurs sens (sensori) et leurs actions motrices (moteur). Ils commencent à acquérir la coordination main-œil, la permanence de l'objet (comprendre que les objets existent même s'ils ne sont pas visibles), et développent des compétences de base telles que la marche et la parole.


2. Stade préopératoire : Également proposé par Jean Piaget, ce stade se produit généralement entre 2 et 7 ans. Les enfants développent la capacité de représenter mentalement des objets et des événements, mais leur pensée est encore largement intuitive et centrée sur eux-mêmes. Ils ont du mal à comprendre les points de vue d'autrui et à utiliser la logique formelle.


3. Stade opératoire concret : Toujours selon la théorie de Piaget, ce stade se produit généralement entre 7 et 11 ans. Les enfants commencent à développer la pensée logique et concrète, ce qui signifie qu'ils peuvent effectuer des opérations mentales sur des objets réels ou des événements concrets. Cependant, ils ont encore du mal avec les idées abstraites.


4. Stade opératoire formel : Toujours selon Piaget, ce stade se produit généralement à partir de l'adolescence (11 ans et plus). Les individus développent la capacité de pensée abstraite et hypothético-déductive. Ils peuvent résoudre des problèmes de manière plus logique et systématique, manipuler des concepts abstraits et comprendre des idées complexes.


5. Stade de l'identité et de la crise psychosociale : Proposé par Erik Erikson, ce modèle de développement psychosocial met l'accent sur le fait que tout au long de la vie, les individus traversent différentes crises psychosociales qui peuvent influencer leur identité et leur comportement. Par exemple, l'adolescence est souvent considérée comme une période où les individus doivent résoudre la crise de l'identité (confusion entre identité et rôle).


6. Stades de la psychologie morale de Lawrence Kohlberg : Lawrence Kohlberg a proposé six stades de développement moral répartis en trois niveaux : préconventionnel (obéissance et punition, orientation individualiste), conventionnel (bonne conduite et maintien de l'ordre social) et postconventionnel (contrat social, principes éthiques universels).



Il est important de noter que ces stades de développement sont des théories et que l'évolution psychologique peut varier considérablement d'un individu à l'autre en fonction de nombreux facteurs tels que l'environnement, la culture et les expériences vécues.


C/ Quelles sont les différents stades de l'évolution psychique en psychologie du développement ?

En psychologie du développement, les différents stades de l'évolution psychique décrivent les étapes de développement psychologique que les individus traversent tout au long de leur vie. Ces stades sont basés sur des théories de développement psychologique proposées par différents psychologues et chercheurs. Voici quelques-uns des stades les plus connus, répertoriés par votre psychothérapeute à Lyon :


1. Stade de l'infantile : Ce stade se situe généralement de la naissance à l'âge de 2 ans. Il se caractérise par une dépendance totale vis-à-vis des soins des parents et des soignants. Les nourrissons développent progressivement des compétences motrices, sensorielles et cognitives fondamentales.


2. Stade préscolaire : Ce stade concerne les enfants âgés de 2 à 6 ans environ. Les enfants développent leur langage, leur capacité de jeu symbolique et leur compréhension du monde qui les entoure. Ils commencent à explorer leur autonomie et à se socialiser avec d'autres enfants.


3. Stade scolaire (enfance) : Ce stade se déroule généralement de 6 à 12 ans. Les enfants acquièrent des compétences académiques et cognitives plus avancées. Ils développent également leur identité sociale en interagissant davantage avec leurs pairs et en intégrant les normes culturelles et sociales.


4. Stade de l'adolescence : L'adolescence se situe généralement entre 12 et 18 ans. C'est une période de changements physiologiques, psychologiques et sociaux importants. Les adolescents cherchent à établir leur identité personnelle, à explorer leur indépendance et à comprendre leur place dans le monde.


5. Stade de « l'adulte émergent » : Ce stade concerne les jeunes adultes, généralement de 18 à 29 ans. C'est une période de transition où les individus se lancent dans des carrières, établissent des relations intimes et continuent de se développer sur le plan émotionnel et psychologique.


6. Stade de l'âge adulte : C'est la phase de l'âge adulte qui suit l'âge adulte émergent. Les individus se concentrent souvent sur leur carrière, leur famille et leur développement personnel. C'est une période de stabilité relative, mais elle peut également comporter des défis tels que l'équilibre entre travail et vie privée.


7. Stade de la maturité et de la vieillesse : Ce stade concerne les personnes âgées. C'est une période de réflexion et d'intégration de l'expérience de vie. Les individus peuvent faire face à des défis tels que la santé physique et la perte de proches, mais ils peuvent également trouver une sagesse et une appréciation plus profondes de la vie.

Il est essentiel de comprendre que ces stades de développement sont des modèles théoriques et que le développement psychologique d'un individu peut être influencé par de nombreux facteurs, y compris le contexte culturel, social et familial. De plus, certains chercheurs peuvent diviser le développement psychologique en un plus grand nombre de stades ou utiliser des modèles différents pour décrire le développement humain.


D/ Quels sont les différents stades de l'évolution psycho-affectif ?

Le développement psycho-affectif décrit l'évolution des aspects émotionnels et psychologiques d'un individu tout au long de sa vie. Ces stades ne sont pas aussi rigides que ceux de certaines théories du développement, mais ils peuvent être décrits en termes généraux. Voici une tentative de description des différents stades de l'évolution psycho-affectif de la part de votre psychothérapeute à Lyon :


1. Stade de l'attachement : Ce stade se produit dès la naissance et pendant la petite enfance. Les bébés développent des liens affectifs avec leurs parents ou principaux soignants, ce qui est essentiel pour leur sécurité émotionnelle et leur développement futur. L'attachement sert de base pour explorer le monde et pour établir des relations sociales ultérieures.


2. Stade de la socialisation : Ce stade se situe généralement pendant la petite enfance et l'enfance. Les enfants commencent à développer leur identité sociale en apprenant les normes, les valeurs et les rôles sociaux de leur culture. Ils acquièrent également des compétences sociales telles que la communication, l'empathie et la résolution de conflits.


3. Stade de l'adolescence : L'adolescence est une période de développement psycho-affectif majeure. Les jeunes traversent des changements hormonaux et psychologiques importants. Ils cherchent à développer leur identité personnelle, à établir leur indépendance vis-à-vis de leurs parents et à forger des relations intimes avec leurs pairs.


4. Stade de l'autonomie : Ce stade se produit généralement pendant le début de l'âge adulte. Les individus s'efforcent d'acquérir une indépendance émotionnelle, financière et décisionnelle. Ils cherchent à définir leur propre identité en dehors des rôles familiaux et sociaux qui leur ont été assignés.


5. Stade de l'épanouissement : Ce stade peut commencer à l'âge adulte moyen et se poursuivre tout au long de la vie. Les individus cherchent à réaliser leur potentiel, à poursuivre des objectifs significatifs et à trouver un sens à leur vie. Ils peuvent également être confrontés à des questions existentielles et chercher à laisser un héritage durable.


6. Stade de la réflexion et du bilan : À mesure que les individus vieillissent, ils peuvent entrer dans ce stade où ils réfléchissent sur leur vie, leurs réalisations et leurs regrets éventuels. Ils peuvent se concentrer davantage sur les relations interpersonnelles et l'importance des connexions sociales.


Il est essentiel de se rappeler que le développement psycho-affectif est un processus individuel et complexe, et que chaque personne peut progresser à son propre rythme et dans des directions différentes. De plus, les influences sociales, culturelles et environnementales jouent un rôle majeur dans le développement psycho-affectif de chaque personne.


Quelles sont les différentes angoisses du bébé et de l'enfant ?

En psychologie, plusieurs types d'angoisses peuvent être observés chez les bébés et les enfants, qui reflètent différentes étapes de leur développement et leurs réponses aux stimuli environnementaux. Voici quelques-unes des angoisses courantes chez les bébés et les enfants listées par vote psychothérapeute à Lyon 3 :


1. Angoisse de séparation : Cette angoisse se manifeste généralement chez les bébés âgés de 6 mois à 2 ans. Les bébés peuvent ressentir de l'anxiété lorsque leur principal « soignant » quitte la pièce ou s'éloigne d'eux. C'est une réaction normale et adaptative à mesure que les bébés commencent à développer un attachement sécurisé à leurs parents ou soignants.


2. Peur des étrangers : Entre 6 mois et 2 ans, les bébés peuvent éprouver de l'angoisse face aux personnes inconnues ou étrangères. Ils peuvent devenir timides, se cramponner à leurs parents ou pleurer lorsqu'ils rencontrent des personnes qu'ils ne connaissent pas bien. Cette peur des étrangers est également liée au développement de l'attachement et de la confiance envers les figures d'attachement.


3. Peurs liées à l'imagination : Vers l'âge de 2 à 6 ans, les enfants peuvent développer des peurs liées à leur imagination. Cela peut inclure des peurs des monstres, des animaux imaginaires, des ombres ou des bruits inconnus. Ces peurs sont souvent temporaires et font partie du développement normal de l'enfant.


4. Peurs sociales et anxieuses : À mesure que les enfants grandissent, ils peuvent développer des peurs sociales et anxieuses liées à l'école, aux pairs et aux nouvelles situations sociales. L'angoisse sociale peut se manifester sous forme de timidité excessive, de refus de parler en public ou de difficultés à s'adapter à de nouveaux environnements sociaux.


5. Angoisse de performance : Chez les enfants plus âgés, à l'approche de l'adolescence, l'angoisse de performance peut se développer en réponse à des situations d'évaluation, comme les examens, les compétitions sportives ou les performances artistiques. Cette angoisse peut être liée à la peur de l'échec ou à la pression pour réussir.


6. Anxiété de séparation chez les enfants plus âgés : Bien que l'angoisse de séparation soit plus courante chez les jeunes enfants, certains enfants plus âgés peuvent également éprouver de l'anxiété lorsqu'ils sont séparés de leurs parents ou de leur foyer, en particulier lors de séjours prolongés ou de déplacements.



Il est important de noter que l'angoisse chez les bébés et les enfants est généralement une réponse normale aux défis du développement et aux nouvelles expériences. Cependant, si l'angoisse persiste, devient envahissante ou interfère considérablement avec le fonctionnement quotidien, il peut être bénéfique de consulter un professionnel de la santé mentale pour obtenir un soutien et des conseils supplémentaires.


Qu'est-ce que le stade du miroir ? Où se situe-t-il par rapport à d'autres stades du développement psycho-affectif et sexuel ?

Le "stade du miroir" est un concept clé développé par le psychanalyste français Jacques Lacan dans le cadre de la psychanalyse. Ce stade fait partie de la théorie du développement psychosocial et psychosexuel, mais il est important de noter que ce concept n'est pas directement associé aux stades psychosexuels de Sigmund Freud.


Le stade du miroir se situe généralement pendant la petite enfance, vers l'âge de 6 mois à 18 mois, bien qu'il puisse varier d'un enfant à l'autre. C'est une étape cruciale dans le développement de l'identité et de la conscience de soi. Voici une explication du stade du miroir :


Lors de cette phase, l'enfant commence à percevoir sa propre image dans un miroir ou à travers le regard des autres. À ce moment, l'enfant n'a pas encore une pleine conscience de lui-même en tant qu'individu séparé, et il perçoit son corps comme une collection de sensations désorganisées.


En voyant son reflet, l'enfant commence à s'identifier à cette image et à la considérer comme une représentation complète de lui-même. C'est un moment où l'enfant construit une première image de lui-même, ce qui est essentiel pour le développement de son identité.


Ce processus est crucial pour le développement du sentiment d'unité et de cohérence du Soi. Cependant, Lacan souligne également que ce processus est marqué par une certaine aliénation. L'enfant idéalise souvent l'image qu'il voit dans le miroir, ce qui crée un Idéal du moi auquel il essaiera de correspondre tout au long de sa vie. Cela peut entraîner des conflits psychologiques et une quête continue d'atteindre cet Idéal du moi.


Le stade du miroir est accompagné par d'autres stades du développement psycho-affectif et sexuel, tels que ceux proposés par Sigmund Freud, tels que le stade oral, le stade anal, le stade phallique, le stade de latence et le stade génital.


L'ensemble de ces stades du développement, y compris le stade du miroir, contribue à façonner l'identité de l'individu, ses relations sociales et sa compréhension de lui-même et du monde qui l'entoure.


Qu'est-ce que l'angoisse du 8e mois en psychologie de l'enfant ?

L'angoisse du 8e mois, également appelée "angoisse de l'étranger" ou "angoisse de l'inconnu", fait référence à une phase de développement psychologique chez les bébés. Cette angoisse est généralement observée vers l'âge de 8 mois, bien que cela puisse varier d'un enfant à l'autre. C'est une étape normale et courante du développement de l'enfant.


L'angoisse du 8e mois se manifeste lorsque le bébé commence à être plus conscient de son environnement social et de la présence de personnes inconnues ou peu familières. À ce stade, le bébé peut réagir de manière négative ou anxieuse envers les étrangers, en particulier lorsqu'il est tenu par quelqu'un d'autre que ses parents ou soignants principaux.


Cela peut se manifester par des pleurs, de la timidité, ou en se cachant derrière les parents pour éviter le contact avec les étrangers. Le bébé peut se sentir plus en sécurité et rassuré lorsqu'il est près de ses figures d'attachement familières.


Cette angoisse est généralement considérée comme une étape de développement saine et adaptative, car elle témoigne du développement de l'attachement entre le bébé et ses parents ou soignants principaux. Elle est souvent liée au développement de l'attachement sécurisé, où le bébé développe un sentiment de confiance envers ses figures d'attachement pour répondre à ses besoins émotionnels et physiologiques.



Il est important de noter que l'angoisse du 8e mois est temporaire et qu'elle tend à diminuer avec le temps à mesure que le bébé développe des compétences sociales et devient plus à l'aise avec les personnes étrangères. Les parents et les soignants peuvent aider le bébé à traverser cette phase en étant présents, réconfortants et en fournissant un environnement sûr et sécurisé.


Comment se résolvent la complexe d'Oedipe et le complexe d'Électre ?

Le complexe d'Œdipe et le complexe d'Électre sont en réalité le même concept, mais ils s'appliquent différemment selon le sexe de l'enfant. Quelques explications simples de la part de votre psychothérapeute à Lyon.


1. Complexe d'Œdipe (ou complexe d'Électre) : Ce concept, développé par Sigmund Freud, fait partie de sa théorie du développement psychosocial et psychosexuel. Il se situe généralement pendant la période phallique, vers l'âge de 3 à 6 ans, dans le cadre de la théorie du développement psychosexuel de Freud.


Dans le complexe d'Œdipe, les garçons éprouvent des sentiments ambivalents envers leur mère et leur père. Ils ressentent de l'amour et du « désir » pour leur mère (le complexe d'Œdipe proprement dit) et de la rivalité et de l'hostilité envers leur père, qu'ils perçoivent comme un rival pour l'affection de leur mère. Ce conflit peut entraîner de l'angoisse et de l'incertitude chez les garçons.


De même, chez les filles, on parle du complexe d'Électre, où elles éprouvent des sentiments ambivalents envers leur père et leur mère. Les filles ressentent de l'amour et du « désir » pour leur père (le complexe d'Électre proprement dit) et de la rivalité envers leur mère, qu'elles perçoivent comme une rivale pour l'affection de leur père. Cette rivalité peut également susciter des conflits internes et des émotions complexes chez les filles.


2. Résolution du complexe d'Œdipe (ou du complexe d'Électre) : La résolution du complexe d'Œdipe est un processus essentiel dans le développement psychosexuel de l'enfant. À mesure que l'enfant grandit, il commence à internaliser les valeurs et les normes sociales, et il apprend à gérer ses désirs et ses émotions de manière socialement acceptable.


Pour les garçons, la résolution du complexe d'Œdipe implique souvent une identification avec leur père, ce qui les aide à intégrer leur identité de genre et à internaliser les valeurs et les rôles sociaux associés à la masculinité. De même, pour les filles, la résolution du complexe d'Électre implique une identification avec leur mère, ce qui les aide à intégrer leur identité de genre et à internaliser les valeurs et les rôles sociaux associés à la féminité.



La résolution réussie du complexe d'Œdipe (ou du complexe d'Électre) contribue à l'établissement d'un sentiment de sécurité, d'identité et d'estime de soi chez l'enfant. Il s'agit d'une étape fondamentale dans le développement psychosocial, et elle prépare l'enfant à passer aux étapes suivantes de son développement.


Quels sont les différents états émotionnels et psychiques du nourrisson et de l’enfant selon les psychologues psychanalystes ?

Les théories des psychologues psychanalystes sur les états émotionnels et psychiques du nourrisson et de l'enfant ont évolué au fil du temps et ont été influencées par diverses perspectives psychanalytiques. Mélanie Klein est l'une des figures clés dans ce domaine, mais d'autres psychanalystes tels que Donald Winnicott et Wilfred Bion ont également contribué à l'exploration des états émotionnels et psychiques des enfants. Il est important de noter que les approches peuvent différer, mais il existe des points de convergence et de complémentarité entre leurs théories.


1. Mélanie Klein : Mélanie Klein a introduit des concepts fondamentaux tels que le "positionnement dépressif" et le "positionnement paranoïde-schizoïde" pour décrire les états émotionnels et psychiques des nourrissons et des enfants. Selon elle, les nourrissons traversent initialement une phase paranoïde-schizoïde, caractérisée par la division du monde en objets "bons" et "mauvais". Cela reflète une lutte entre le désir et la crainte de détruire l'objet aimé. Par la suite, les enfants passent par la phase dépressive, où ils intègrent une image plus nuancée de l'objet, éprouvent de la culpabilité pour leurs fantasmes destructeurs et cherchent à réparer tout dommage perçu.


2. Donald Winnicott : Winnicott a introduit le concept de "l'objet transitionnel" pour expliquer la manière dont les nourrissons et les enfants utilisent des objets tels que des peluches pour apaiser leur anxiété lorsqu'ils commencent à se séparer de leur mère. Il a également mis l'accent sur l'importance de la "mère suffisamment bonne" pour fournir un environnement contenant et sécurisant. Winnicott a exploré la transition entre l'expérience précoce de la fusion et du non-fusion avec la mère, mettant en avant la notion de "transitionnalité".


3. Wilfred Bion : Bion a développé la théorie des relations d'objet et a introduit le concept de "pensée" comme fonction psychique fondamentale. Il a exploré la manière dont les nourrissons et les enfants s'engagent dans des processus mentaux pour comprendre et donner un sens à leurs expériences. Bion a également introduit le concept d'"attaques de la pensée", où les émotions et les expériences sont élaborées et transformées en pensées.


Ces différentes théories se complètent de plusieurs manières :



• Complémentarité des stades : Les théories de Klein, Winnicott et Bion abordent différents stades du développement, de la phase paranoïde-schizoïde à la phase dépressive, ainsi que les transitions entre l'union fusionnelle et la séparation. Ces perspectives fournissent une vue d'ensemble plus complète du développement émotionnel et psychique de l'enfant.

• Importance des relations d'objet : Tous ces psychanalystes accordent une grande importance aux relations avec les objets (notamment la mère) dans le développement de l'enfant. Klein se concentre sur les fantasmes et les relations affectives complexes, Winnicott sur le rôle de la mère suffisamment bonne, et Bion sur la manière dont l'enfant transforme ses expériences en pensées.

• Processus psychiques : Les concepts de "positionnement dépressif" de Klein, d' "objet transitionnel" de Winnicott et de "pensée" de Bion mettent en évidence les processus mentaux complexes par lesquels les enfants interagissent avec le monde et construisent leur réalité psychique.


En somme, ces théories se complètent en fournissant des perspectives différentes et complémentaires sur le développement émotionnel et psychique du nourrisson et de l'enfant, tout en mettant l'accent sur l'importance des relations avec les objets, la transition de la fusion à la séparation, et les processus psychiques sous-jacents.


En psychologie et psychanalyse que signifie être sécure ou insécure ? 

Être sécurisé ou insécure en psychologie se réfère généralement au sentiment de sécurité émotionnelle et psychologique d'un individu par rapport à lui-même, aux autres et au monde qui l'entoure. Une personne sécurisée a tendance à avoir une confiance en soi stable, à être à l'aise dans ses relations et à faire face aux défis de manière adaptative. En revanche, une personne insécure peut être plus sujette à l'anxiété, aux doutes sur elle-même et à des difficultés dans les relations interpersonnelles.


L'origine de la sécurité ou de l'insécurité peut remonter à l'enfance et aux expériences vécues, en particulier dans les relations avec les figures d'attachement (comme les parents ou les soignants). Les expériences positives, la disponibilité émotionnelle, l'amour inconditionnel et le soutien des figures d'attachement favorisent généralement le développement d'un sentiment de sécurité chez l'enfant. À l'inverse, des expériences traumatisantes, des négligences ou des ruptures dans les relations peuvent contribuer à des sentiments d'insécurité.


Un psychothérapeute peut jouer un rôle important dans l'aide à devenir plus sécurisé. Voici comment :


1. Création d'un environnement sécurisé : Le psychothérapeute doit créer un environnement thérapeutique sûr et sans jugement où le patient se sent à l'aise pour explorer ses émotions, ses pensées et ses expériences.

2. Exploration des origines : Le psychothérapeute peut aider le patient à explorer les expériences passées qui pourraient avoir contribué à ses sentiments d'insécurité. En comprenant les schémas relationnels et les événements traumatisants éventuels, le patient peut gagner en clarté sur les causes de ses insécurités.

3. Reconstruction des croyances : Le psychothérapeute peut aider le patient à identifier et à remettre en question les croyances négatives sur soi-même qui alimentent l'insécurité. Par le biais de la thérapie cognitive, le patient peut apprendre à développer des pensées plus positives et réalistes.

4. Renforcement des compétences sociales et émotionnelles : Les psychothérapeutes peuvent enseigner aux patients des compétences en matière de communication, de gestion du stress et de régulation émotionnelle, ce qui peut contribuer à renforcer leur confiance en eux et à améliorer leurs relations.

5. Travail sur l'attachement : Si les insécurités sont liées à des problèmes d'attachement, le psychothérapeute peut aider le patient à explorer ces schémas d'attachement et à développer des stratégies pour construire des relations plus saines.

6. Exploration des ressources internes : Le psychothérapeute peut guider le patient pour qu'il identifie et cultive ses forces, ses ressources et ses compétences personnelles, ce qui peut contribuer à renforcer son sentiment de sécurité.



Il est important de noter que le processus de devenir plus sécurisé est généralement progressif et peut nécessiter du temps et de la patience. Un partenariat solide entre le patient et le psychothérapeute est essentiel pour travailler ensemble vers cet objectif. GIBERT Akim, psychothérapeute à Lyon 3 Montchat.


Qu'est-ce que la théorie des schémas ? Quelle psychothérapie pour briser ou dépasser un schéma ?

La théorie des schémas, développée par le psychologue cognitif Jeffrey Young, est une approche de la psychologie qui s'intéresse aux modèles cognitifs et émotionnels profondément enracinés chez les individus. Un schéma peut être défini comme un modèle cognitif, une croyance ou une représentation mentale qui influence la manière dont une personne perçoit le monde, se perçoit elle-même et interagit avec les autres. Quelques éclaircissements de votre psychothérapeute à Lyon 3.


Les schémas se forment généralement tôt dans la vie, souvent en réponse à des expériences vécues pendant l'enfance. Ils peuvent être influencés par les relations avec les parents, les soignants ou d'autres personnes significatives, ainsi que par les événements traumatisants ou les modèles familiaux. Les schémas peuvent être positifs, soutenants et adaptatifs, mais ils peuvent également être négatifs, dysfonctionnels et entraver le bien-être émotionnel.


La thérapie basée sur la théorie des schémas, également connue sous le nom de thérapie des schémas, vise à identifier, comprendre et modifier les schémas dysfonctionnels qui affectent la vie d'une personne. Voici quelques-unes des approches utilisées en thérapie des schémas pour briser ou dépasser un schéma :


1. Identification des schémas : Le psychothérapeute aide le patient à identifier les schémas dysfonctionnels qui influencent sa pensée, ses émotions et son comportement. Cela peut se faire à travers des discussions, des questionnaires, des exercices d'auto-observation et des souvenirs d'événements passés.


2. Exploration des origines : Il est important de comprendre les origines des schémas, souvent en se penchant sur l'enfance et les expériences de vie qui ont contribué à leur développement. Cela peut aider le patient à prendre conscience des schémas automatiques et inconscients qui influencent sa vie.


3. Validation émotionnelle : Le psychothérapeute offre un soutien émotionnel et une validation aux émotions du patient liées à ses schémas. Cela peut aider le patient à se sentir compris et en sécurité, encourageant ainsi l'ouverture et l'exploration des schémas plus profonds.


4. Restructuration cognitive : Il s'agit d'identifier les pensées automatiques négatives et les croyances dysfonctionnelles et de les remplacer par des pensées plus positives et plus adaptatives. Cette approche vise à modifier les schémas de pensée pour promouvoir des réactions émotionnelles plus saines.


5. Expression émotionnelle : Le psychothérapeute aide le patient à ressentir et à exprimer des émotions refoulées liées aux schémas dysfonctionnels. Cela peut être un processus émotionnellement intense, mais il peut contribuer à la guérison et à la réduction de l'impact des schémas sur la vie du patient.


6. Techniques de coping* : Le thérapeute enseigne des stratégies de coping et des compétences d'adaptation pour gérer les émotions et les situations difficiles de manière plus saine et constructive. Cela aide le patient à s'engager dans des comportements plus adaptatifs et à briser les schémas répétitifs.


La thérapie des schémas est généralement un processus à long terme, car les schémas profondément ancrés nécessitent du temps et de la patience pour être identifiés et modifiés. Cependant, avec un engagement envers le travail thérapeutique, il est possible de briser les schémas dysfonctionnels et de développer de nouvelles façons de penser, de ressentir et d'agir qui favorisent le bien-être émotionnel et une vie épanouie.


* Le coping (de l'anglais « to cope » : faire face) désigne les réactions et les stratégies d'adaptation en réponse à un stress. Il inclut des efforts pour résoudre les problèmes ou améliorer la situation, pour composer émotionnellement avec la situation ou pour trouver du soutien. Le coping centré sur les problèmes vise à essayer de changer la situation alors que le coping centré sur les émotions vise à essayer de se sentir mieux (S1).

Lazarus et Folkman définissent le coping comme « l'ensemble des efforts cognitifs et comportementaux toujours changeants que déploie l'individu pour répondre à des demandes internes et/ou externes spécifiques, évaluées comme très fortes et dépassant ses ressources adaptatives »  (S2).


Pourquoi dit-on que ce qui se passe durant la première enfance et l’enfance détermine notre personnalité, nos peurs et angoisses et notre sécurité intérieure ? Est-ce que tout est déterminé ou pouvons-nous nous réparer, nous soigner, nous améliorer, évoluer ?

En psychologie et en psychanalyse, l'idée que ce qui se passe durant la première enfance et l'enfance influence profondément notre personnalité, nos peurs, nos angoisses et notre sécurité intérieure est liée à plusieurs théories et concepts clés.

Voici quelques éléments pour répondre à vos questions :


1. Influence de l'enfance sur la personnalité, les peurs et l'angoisse :


• Théorie du développement psychosocial d'Erik Erikson : Erikson a développé une série de stades psychosociaux qui mettent en évidence les défis développementaux auxquels les individus sont confrontés à différentes étapes de la vie. Il soutenait que les expériences positives ou négatives de chaque stade pouvaient avoir un impact durable sur la personnalité et le bien-être psychologique.

• Psychanalyse freudienne : Sigmund Freud croyait que l'enfance était une période cruciale pour le développement de la personnalité. Selon lui, les expériences et les conflits non résolus pendant l'enfance pouvaient influencer la psyché tout au long de la vie, notamment par le biais du processus de refoulement et des mécanismes de défense.


2. Possibilité de changement et d'amélioration :


• Théorie du changement psychologique : De nombreuses approches en psychologie soutiennent que le changement est possible à tout âge. Les thérapies cognitivo-comportementales, par exemple, se concentrent sur la modification des schémas de pensée et de comportement maladaptatifs pour favoriser le bien-être.

• Théorie de la croissance post-traumatique : Cette théorie suggère que les individus peuvent non seulement se remettre d'événements traumatisants, mais aussi en sortir renforcés et avec un nouveau sens de la résilience et de la croissance.


3. Théories et écoles de pensée :


• Thérapie psychodynamique : Inspirée par Freud, cette approche met l'accent sur l'exploration des processus inconscients et des expériences passées pour comprendre et traiter les problèmes psychologiques actuels.

• Thérapie cognitivo-comportementale (TCC) : Cette approche se concentre sur les schémas de pensée et de comportement actuels, visant à identifier et à modifier les pensées négatives et les comportements maladaptatifs.

• Thérapie humaniste : Les théories humanistes, telles que la psychologie de Carl Rogers, mettent en avant le potentiel de croissance et d'auto-amélioration de chaque individu, en mettant l'accent sur l'importance de l'empathie, de l'authenticité et de la compréhension.

• Approches intégratives : De nombreux thérapeutes adoptent des approches intégratives, combinant des éléments de différentes théories pour répondre aux besoins uniques de chaque individu.


En résumé, la question de savoir si notre personnalité et nos problèmes psychologiques sont entièrement déterminés par l'enfance ou si nous pouvons nous améliorer et évoluer est un débat complexe dans le domaine de la psychologie. Les différentes théories et écoles de pensée offrent des perspectives variées, et de nombreux praticiens, comme GIBERT Akim, votre psychothérapeute à Lyon, croient en la possibilité de changement et d'évolution tout au long de la vie.


Quelles sont les différences entre borderline et états-limites ?

Les termes "borderline" et "états-limites" sont souvent utilisés de manière interchangeable pour désigner un trouble de la personnalité spécifique appelé "trouble de la personnalité borderline" (TPB) en psychologie et psychiatrie. Cependant, il est important de noter que le terme "borderline" peut aussi être utilisé plus généralement pour décrire des états émotionnels ou comportementaux instables sans nécessairement se référer au trouble de la personnalité.


Caractéristiques et dynamique psychique du trouble de la personnalité borderline :

Le trouble de la personnalité borderline est caractérisé par des schémas persistants d'instabilité émotionnelle, de relations interpersonnelles tumultueuses, d'impulsivité et d'identité perturbée. Les personnes atteintes de ce trouble peuvent avoir des humeurs changeantes, des comportements impulsifs (comme les automutilations ou les tentatives de suicide), des relations instables et intenses, ainsi qu'une forte peur de l'abandon. Ils peuvent également avoir une image de soi fluctuante et une difficulté à réguler leurs émotions.


La dynamique psychique du trouble de la personnalité borderline implique souvent une sensibilité accrue aux signaux de rejet ou d'abandon, ce qui peut déclencher des réactions émotionnelles intenses. Les personnes atteintes de ce trouble peuvent avoir des difficultés à tolérer l'incertitude et à gérer les émotions fortes, ce qui peut les conduire à des comportements impulsifs pour soulager la détresse émotionnelle.


Psychothérapie pour le trouble de la personnalité borderline :

Plusieurs types de psychothérapies ont montré leur efficacité dans le traitement du trouble de la personnalité borderline. Voici quelques approches :

1. Thérapie dialectique comportementale (TDC) : Cette thérapie, développée par Marsha Linehan, vise à aider les individus à développer des compétences en régulation émotionnelle, en tolérance à la détresse, en communication interpersonnelle et en gestion des impulsions.

2. Thérapie cognitive-comportementale (TCC) : La TCC pour le TPB se concentre sur la modification des schémas de pensée négatifs et des comportements dysfonctionnels, en aidant les patients à identifier et à remettre en question leurs croyances automatiques.

3. Thérapie psychodynamique : Cette approche explore les schémas d'attachement, les conflits inconscients et les expériences passées qui peuvent contribuer au TPB. Elle vise à améliorer la compréhension de soi et la régulation émotionnelle.

4. Thérapie de groupe : Les thérapies de groupe offrent un environnement de soutien où les patients peuvent interagir avec d'autres personnes qui partagent des expériences similaires et apprendre des compétences sociales.

5. Thérapies basées sur l'attachement : Ces approches se concentrent sur le développement d'une base de sécurité interne et l'exploration des schémas d'attachement pour améliorer les relations interpersonnelles.


Il est important de noter que le traitement du trouble de la personnalité borderline peut être complexe et nécessite souvent une approche intégrative qui prend en compte les besoins individuels du patient. Le lien thérapeutique et la collaboration entre le patient et GIBERT Akim votre psychothérapeute à Lyon sont essentiels pour réussir à gérer les symptômes et à améliorer la qualité de vie.


Psychothérapie et timidité

Comment la psychothérapie peut aider pour vaincre la timidité ? Quels types de psychothérapies pour quels types de timidité ?

La psychothérapie est une approche efficace pour aider à vaincre la timidité en travaillant sur les pensées, les émotions et les comportements sous-jacents qui contribuent à ce sentiment. Différents types de psychothérapies peuvent être utilisés en fonction de la nature et de la sévérité de la timidité. Voici comment la psychothérapie peut aider, ainsi que quelques exemples de types de psychothérapie adaptés à différents types de timidité :


1. Identification des schémas de pensée négatifs : La timidité est souvent alimentée par des schémas de pensée négatifs et des croyances limitantes sur soi-même et les interactions sociales. La psychothérapie peut aider à identifier et à remettre en question ces schémas.

2. Travail sur l'estime de soi : Une faible estime de soi peut aggraver la timidité. La psychothérapie peut aider à renforcer l'estime de soi en explorant les origines des croyances négatives sur soi-même et en les modifiant.

3. Gestion de l'anxiété sociale : La psychothérapie peut enseigner des compétences de gestion de l'anxiété, telles que la relaxation, la respiration profonde et la visualisation, ou encore l’hypnose, pour aider à faire face aux situations sociales.

4. Exposition graduelle : Pour surmonter la timidité, l'exposition graduelle à des situations sociales peut être utilisée. Cela peut être guidé par un thérapeute et progresser à un rythme confortable pour la personne.

5. Apprentissage des compétences sociales : Certaines personnes timides peuvent manquer de compétences sociales. La psychothérapie peut inclure l'enseignement de compétences de communication, d'écoute et d'interaction appropriées.


En ce qui concerne les types spécifiques de psychothérapie pour différents types de timidité :


1. Thérapie cognitivo-comportementale (TCC) : La TCC est efficace pour traiter différents types de timidité. Pour la timidité générale, elle peut aider à remettre en question les pensées négatives et à développer des stratégies pour faire face à l'anxiété sociale. Pour la phobie sociale, la TCC peut inclure l'exposition graduée à des situations sociales.

2. Thérapie psychodynamique : Si la timidité est liée à des expériences passées ou à des conflits internes, une approche psychodynamique (freudienne notamment) peut aider à explorer les racines profondes de la timidité et à travailler sur des changements durables.

3. Thérapie d'affirmation de soi : Pour les personnes ayant des difficultés à s'affirmer, cette approche peut enseigner des compétences d'expression et d'assertivité.

4. Thérapie de groupe : Les groupes de soutien ou thérapeutiques offrent un environnement sécurisé pour pratiquer des interactions sociales, ce qui peut être particulièrement utile pour ceux qui ont du mal avec les interactions sociales.

5. Thérapie humaniste : Pour ceux qui cherchent à se reconnecter avec leur propre potentiel et à développer leur confiance en eux, l'approche humaniste peut être bénéfique. Par exemple, l’approche de Carl Rogers.


Il est essentiel de consulter un professionnel de la santé mentale qualifié pour déterminer quelle approche convient le mieux à votre situation spécifique. Le choix dépendra de la nature et de la gravité de votre timidité, ainsi que de vos préférences personnelles. GIBERT Akim est psychothérapeute à Lyon (2003), en plus d’exercer en tant que sexothérapeute (2003) et hypnothérapeute depuis 2009.


Le rôle d'un psychothérapeute à Lyon en France.

Un psychothérapeute en France est un professionnel de la santé mentale formé pour aider les patients à comprendre, gérer et surmonter leurs problèmes émotionnels, psychologiques et relationnels. Voici un aperçu de leurs principales responsabilités et activités :


  - Évaluation : Les psychothérapeutes commencent souvent par effectuer une évaluation complète de la santé mentale de leurs patients. Cela implique de recueillir des informations sur les antécédents personnels, familiaux et médicaux, ainsi que de comprendre les problèmes actuels et les objectifs du patient.


  - Diagnostic : Après l'évaluation, le psychothérapeute peut établir une évaluation ou une compréhension des problèmes du patient, ce qui guide le plan de traitement psychothérapeutique. Pour un diagnostic, consulter un médecin, un médecin psychothérapeute ou un psychiatre.


  - Psychothérapies et traitement : Les psychothérapeutes utilisent une variété d'approches thérapeutiques pour aider leurs patients. Cela peut inclure la thérapie cognitivo-comportementale, la psychanalyse, la thérapie humaniste, la thérapie de groupe, ou d'autres approches adaptées aux besoins individuels. Le but est d'aider les patients à développer des compétences pour mieux faire face à leurs problèmes et à améliorer leur bien-être émotionnel.


  - Soutien émotionnel : Les psychothérapeutes fournissent un soutien émotionnel essentiel à leurs patients. Ils offrent un espace sûr et confidentiel pour discuter de leurs préoccupations, émotions et angoisses.


  - Éducation : Les psychothérapeutes éduquent leurs patients sur la santé mentale, les modèles de pensée, les émotions, et les comportements afin de les aider à mieux comprendre leur propre fonctionnement psychologique.


  - Gestion de crise : En cas de crise, les psychothérapeutes sont formés pour aider les patients à gérer des situations difficiles, telles que des épisodes de dépression sévère, des crises d'anxiété ou des pensées suicidaires.


  - Collaboration : Ils peuvent collaborer avec d'autres professionnels de la santé, tels que des psychiatres, des médecins de famille ou des travailleurs sociaux, pour assurer une prise en charge globale et coordonnée des patients en cas de besoin.


  - Confidentialité : Les psychothérapeutes sont tenus au secret professionnel, ce qui signifie que les informations partagées par les patients sont confidentielles.


  - Formation continue : Les psychothérapeutes en France sont tenus de suivre une formation continue pour se tenir au courant des avancées dans le domaine de la santé mentale et de la psychothérapie.


En résumé, les psychothérapeutes jouent un rôle crucial dans la promotion de la santé mentale et le traitement des troubles émotionnels et psychologiques à Lyon et en France. Ils offrent un soutien professionnel, une écoute active et des compétences thérapeutiques pour aider les individus à améliorer leur bien-être émotionnel et leur qualité de vie.


Qu'est-ce que la philosophie des quatre accords toltèques ?

Les Quatre Accords Toltèques sont un ensemble de principes spirituels issus de la sagesse toltèque, une ancienne tradition mexicaine. Ils ont été présentés dans le livre "Les Quatre Accords Toltèques" écrit par Don Miguel Ruiz. Ces accords sont conçus pour guider les personnes vers une vie plus épanouissante, libre de souffrance inutile et de conflits internes. Voici un aperçu des Quatre Accords Toltèques :

1. Que votre parole soit impeccable :

   - Ce premier accord souligne l'importance de parler avec intégrité, de dire ce que vous pensez vraiment et d'éviter de mentir, de juger, de critiquer ou de parler de vous-même de manière négative.

   - Il encourage également à utiliser la parole pour créer de la bienveillance et de l'amour, à la fois envers les autres et envers soi-même.

2. Quoi qu'il arrive, n'en faites pas une affaire personnelle :

   - Le deuxième accord met en avant l'idée que les actions et les paroles des autres ne doivent pas être prises comme une attaque personnelle.

   - Il suggère de ne pas se laisser affecter par ce que les autres disent ou font, car cela dépend souvent de leurs propres blessures et peurs.

3. Ne faites pas de suppositions :

   - Le troisième accord met en garde contre le fait de supposer que vous comprenez les intentions des autres sans leur poser de questions.

   - Il encourage à communiquer clairement et à demander des clarifications lorsque cela est nécessaire, afin d'éviter les malentendus et les conflits.

4. Faites toujours de votre mieux :

   - Le quatrième accord toltèque invite à faire de son mieux dans toutes les situations, mais sans se surmener ni se juger de manière excessive.

   - Il souligne que votre "meilleur" peut varier d'un jour à l'autre en fonction des circonstances, et qu'il est important de faire preuve de compassion envers vous-même.


Ces Quatre Accords Toltèques offrent un guide simple mais puissant pour cultiver des relations plus saines, une meilleure estime de soi et une vie plus alignée avec vos valeurs et vos aspirations. Ils encouragent la réflexion personnelle, la communication authentique et la quête d'une existence plus libre de souffrance émotionnelle.


Qu'est-ce que la communication non violente ?

La Communication Non Violente (CNV) est un processus de communication et un modèle de résolution des conflits développé par le psychologue américain Marshall B. Rosenberg. La CNV vise à améliorer la qualité de la communication interpersonnelle en favorisant l'empathie, la compréhension mutuelle et la résolution pacifique des conflits. Elle repose sur une approche axée sur le respect, la bienveillance et l'expression authentique des besoins et des émotions.


Les principes fondamentaux de la Communication Non Violente sont les suivants :


1. Observation : La CNV commence par une observation neutre et factuelle de ce qui se passe dans une situation, sans jugement ni interprétation. L'objectif est de décrire les faits tels qu'ils sont perçus.

2. Sentiments : Ensuite, on exprime les sentiments qui surgissent dans la situation. Cela implique de reconnaître et de nommer les émotions ressenties, qu'elles soient positives ou négatives.

3. Besoins : La CNV met l'accent sur l'identification des besoins sous-jacents qui sont à la base de nos sentiments. Comprendre et exprimer ces besoins permet d'établir une connexion plus profonde avec soi-même et avec les autres.

4. Demandes : Enfin, la CNV encourage à formuler des demandes claires et positives pour satisfaire les besoins identifiés. Les demandes doivent être spécifiques, réalisables et non contraignantes.


La CNV vise à éviter les comportements et les modes de communication qui sont considérés comme violents ou nuisibles, tels que le blâme, la critique, la culpabilisation, le jugement et la manipulation. Au lieu de cela, elle encourage l'écoute empathique, la compréhension mutuelle et la recherche de solutions qui répondent aux besoins de toutes les parties impliquées.



La CNV peut être utilisée dans une variété de contextes, y compris les relations personnelles, les conflits familiaux, les environnements de travail et les négociations. Elle repose sur le principe que la résolution pacifique des conflits et la coopération sont plus susceptibles d'être atteintes lorsque les besoins et les émotions de chacun sont pris en compte avec respect et empathie.


Quels sont les 9 types d'intelligence ?

L'idée des "neuf types d'intelligence" est associée à la théorie de l'intelligence multiple développée par le psychologue Howard Gardner. Gardner a proposé que l'intelligence ne puisse pas être réduite à une seule entité, mais plutôt qu'il existe plusieurs formes d'intelligence différentes. Voici les neuf types d'intelligence qu'il a identifiés :


1. Intelligence linguistique : Capacité à utiliser efficacement les mots et la langue pour communiquer, réfléchir et résoudre des problèmes. Les écrivains, les orateurs et les poètes exemplifient souvent cette intelligence.

2. Intelligence logico-mathématique : Capacité à résoudre des problèmes complexes, à effectuer des calculs et à utiliser la logique pour prendre des décisions. Les mathématiciens, les scientifiques et les programmeurs sont des exemples de personnes qui excellent dans cette intelligence.

3. Intelligence spatiale : Capacité à percevoir et à comprendre le monde visuellement, à naviguer dans l'espace, et à résoudre des problèmes spatiaux. Les artistes, les architectes et les navigateurs utilisent cette intelligence.

4. Intelligence corporelle-kinesthésique : Capacité à utiliser son propre corps de manière habile, à coordonner les mouvements et à comprendre les sensations corporelles. Les athlètes, les danseurs et les artisans possèdent souvent cette intelligence.

5. Intelligence musicale : Capacité à percevoir, comprendre et créer des modèles musicaux, ainsi qu'à apprécier la musique. Les musiciens, les compositeurs et les mélomanes excellent dans cette intelligence.

6. Intelligence interpersonnelle : Capacité à comprendre les émotions, les motivations et les intentions des autres, ainsi qu'à établir des relations interpersonnelles significatives. Les enseignants, les thérapeutes et les leaders sociaux manifestent cette intelligence.

7. Intelligence intrapersonnelle : Capacité à comprendre ses propres émotions, motivations, forces et faiblesses, ainsi qu'à s'auto-réguler. Les personnes ayant une bonne intelligence intrapersonnelle sont conscientes d'elles-mêmes et de leur développement personnel.

8. Intelligence naturaliste : Capacité à reconnaître et à comprendre les modèles dans la nature, à identifier les plantes et les animaux, ainsi qu'à interagir avec l'environnement naturel. Les biologistes, les naturalistes et les guides de plein air peuvent exceller dans cette intelligence.

9. Intelligence existentielle ou spirituelle : Capacité à réfléchir profondément sur des questions existentielles, telles que le sens de la vie, la mort et l'existence de forces supérieures. Les philosophes, les théologiens et les chercheurs spirituels peuvent posséder cette intelligence.



Gardner a proposé cette théorie pour reconnaître la diversité des talents et des compétences humaines, mais il est important de noter que son modèle n'est pas accepté de manière unanime par la communauté scientifique et qu'il continue de susciter des débats.


Qu'est-ce que l'intelligence émotionnelle ?

L'intelligence émotionnelle (IE) est un concept qui fait référence à la capacité d'une personne à reconnaître, comprendre, gérer et utiliser ses émotions de manière efficace, ainsi qu'à reconnaître, comprendre et influencer les émotions des autres. Elle englobe un ensemble de compétences émotionnelles et sociales qui sont essentielles pour réussir dans la vie quotidienne, dans les relations interpersonnelles et dans le monde professionnel.


L'intelligence émotionnelle est généralement divisée en quatre domaines ou compétences principales :


1. La conscience émotionnelle : Il s'agit de la capacité à reconnaître et à comprendre ses propres émotions, ainsi qu'à identifier les émotions des autres. Cela inclut la conscience de soi, c'est-à-dire la connaissance de ses propres émotions, et la conscience sociale, qui concerne la compréhension des émotions des autres.

2. La gestion émotionnelle : Cela implique la capacité à gérer ses émotions de manière appropriée. Cela signifie pouvoir exprimer ses émotions de manière constructive, gérer le stress, l'anxiété et les émotions négatives, et favoriser des émotions positives.

3. Les compétences sociales : Cela englobe la capacité à interagir efficacement avec les autres, à établir des relations positives, à résoudre des conflits et à influencer les émotions des autres de manière positive. Les compétences sociales comprennent l'empathie, la communication efficace et la gestion des relations.

4. La régulation émotionnelle : Il s'agit de la capacité à utiliser ses émotions de manière adaptative. Cela signifie pouvoir ajuster ses émotions en fonction de la situation, prendre des décisions éclairées en tenant compte de ses émotions, et maintenir un équilibre émotionnel.


L'intelligence émotionnelle joue un rôle crucial dans de nombreux aspects de la vie, y compris la réussite professionnelle, la santé mentale, les relations interpersonnelles, la gestion du stress et le bien-être général. Elle peut être développée et améliorée par l'auto-réflexion, la formation et la pratique, ce qui en fait une compétence précieuse pour l'épanouissement personnel.


L'empathie est-elle une forme d'intelligence ?

L'empathie n'est pas généralement considérée comme une forme d'intelligence selon la théorie classique de l'intelligence telle que proposée par des psychologues comme Howard Gardner (théorie des intelligences multiples) ou Alfred Binet (qui a contribué au développement du quotient intellectuel, QI). Ces théories traditionnelles de l'intelligence se concentrent davantage sur des domaines cognitifs spécifiques, tels que la logique, les mathématiques, la linguistique, etc.


Cependant, de nombreuses personnes et chercheurs reconnaissent l'importance de l'empathie en tant que compétence sociale et émotionnelle essentielle. L'empathie est la capacité à comprendre et à ressentir les émotions des autres, à se mettre à leur place et à répondre de manière appropriée. Elle joue un rôle crucial dans les relations interpersonnelles, la communication, la résolution de conflits et la compréhension des besoins des autres.


Bien que l'empathie ne soit pas traditionnellement considérée comme une forme d'intelligence, elle est souvent associée à d'autres compétences émotionnelles, telles que la gestion des émotions, la conscience émotionnelle et la régulation émotionnelle, qui sont toutes des aspects importants de l'intelligence émotionnelle. L'intelligence émotionnelle est une capacité à reconnaître, comprendre et gérer les émotions, ainsi qu'à les utiliser de manière constructive dans divers contextes.



Dans l'ensemble, bien que l'empathie ne soit pas une forme d'intelligence au sens traditionnel, elle est reconnue comme une compétence sociale et émotionnelle cruciale pour les relations humaines et le bien-être personnel.


Qu'est-ce que l'intuition ?

L'intuition est une forme de connaissance ou de compréhension qui ne repose pas nécessairement sur la logique ou sur une analyse rationnelle. Elle se manifeste souvent comme un sentiment, une impression ou une idée soudaine et immédiate, sans que l'on puisse expliquer exactement comment on en est arrivé à cette conclusion. L'intuition est le résultat d'un processus mental inconscient qui intègre des informations sensorielles, des expériences passées et des connaissances stockées dans notre mémoire.


Voici quelques caractéristiques de l'intuition :


1. Rapidité : L'intuition se produit généralement rapidement, sans que l'on ait à passer par un raisonnement délibéré ou analytique.

2. Subjectivité : L'intuition est personnelle et subjective. Ce qui semble intuitif pour une personne peut ne pas l'être pour une autre, car elle dépend des expériences individuelles et des informations accessibles.

3. "Sixième sens" : L'intuition est souvent décrite comme un "sixième sens" ou un instinct. Elle peut être utilisée pour prendre des décisions, résoudre des problèmes ou évaluer des situations sans que l'on puisse expliquer pourquoi on se sent de telle manière.

4. Créativité : L'intuition est liée à la créativité, car elle peut conduire à des idées nouvelles et originales qui ne sont pas le résultat d'une pensée délibérée.

5. Confiance : Pour utiliser efficacement l'intuition, il est important d'avoir confiance en son propre processus de pensée intuitif. La confiance en son intuition peut être développée avec le temps et l'expérience.

6. Utilité : L'intuition peut être utile dans de nombreuses situations, de la prise de décision personnelle à la résolution de problèmes professionnels. Elle peut compléter la pensée rationnelle et contribuer à des choix éclairés.


Il est important de noter que l'intuition n'est pas infaillible. Parfois, elle peut être influencée par des biais cognitifs ou émotionnels, et il est préférable de l'utiliser en conjonction avec une réflexion rationnelle lorsque cela est possible. Cependant, l'intuition peut être une compétence précieuse pour prendre rapidement des décisions lorsque les informations nécessaires sont limitées ou lorsque le temps est compté.


Comment décrit-on l'intuition d'un point de vue cérébral, cognitif et scientifique ?

D'un point de vue cérébral, cognitif et scientifique, l'intuition est un sujet complexe et encore en grande partie incompris. Les chercheurs tentent de démystifier le processus d'intuition en examinant les mécanismes neuronaux et cognitifs qui sous-tendent cette expérience subjective.

Voici quelques éléments à prendre en compte :


1. Activation cérébrale : Des études neuroscientifiques ont montré que l'intuition est associée à des régions du cerveau telles que le cortex préfrontal (impliqué dans la prise de décision), le cortex cingulaire antérieur (lié à la régulation émotionnelle) et le cortex pariétal (impliqué dans le traitement de l'information sensorielle). Cependant, il n'existe pas encore de modèle précis de l'intuition dans le cerveau.

2. Traitement rapide de l'information : L'intuition est souvent considérée comme le résultat d'un traitement rapide de l'information. Des chercheurs suggèrent que le cerveau traite de vastes quantités de données sensorielles et d'expériences passées en parallèle, ce qui peut conduire à des conclusions intuitives.

3. Émotion et cognition : L'intuition est étroitement liée à la manière dont les émotions et la cognition interagissent. Certaines théories suggèrent que les émotions peuvent influencer le processus intuitif en orientant l'attention et en influençant les évaluations rapides.

4. Connaissances et expertise : L'intuition peut être fortement influencée par les connaissances et l'expertise d'une personne dans un domaine particulier. Les experts dans un domaine donné ont tendance à prendre des décisions intuitives plus précises en raison de leur vaste expérience.

5. Biais cognitifs : L'intuition peut être sujette à des biais cognitifs, qui sont des erreurs de pensée systématiques. Les biais cognitifs peuvent influencer la manière dont nous percevons et évaluons les informations, ce qui peut conduire à des intuitions erronées.

6. Apprentissage inconscient : Certains chercheurs suggèrent que l'intuition peut être le résultat de l'apprentissage inconscient, où le cerveau absorbe des informations subtilement sans que nous en soyons conscients, puis les utilise pour prendre des décisions.



Il est important de noter que l'intuition est un domaine de recherche actif en psychologie cognitive et en neurosciences, et il n'existe pas encore de consensus clair sur son fonctionnement exact. L'intuition reste un sujet fascinant qui défie souvent une explication simple et linéaire.


Comment et par quels mécanismes la mémoire et la concentration  sont-elles influencées par la santé mentale d'une personne ?

La santé mentale peut influencer momentanément ou durablement les fonctions cognitives telles que la mémoire et la concentration de plusieurs manières. Voici quelques mécanismes par lesquels cela se produit :

1. Stress : Le stress chronique peut avoir un impact négatif sur la mémoire et la concentration. Le cortisol, une hormone du stress, peut affecter la fonction cognitive, en particulier la mémoire de travail, qui est essentielle pour la concentration.

2. Anxiété et dépression : Les personnes souffrant d'anxiété ou de dépression peuvent avoir des difficultés à se concentrer et à mémoriser des informations. Les préoccupations constantes ou les pensées négatives peuvent distraire de la tâche à accomplir.

3. Sommeil : Les problèmes de santé mentale, tels que l'insomnie associée à l'anxiété ou la dépression, peuvent perturber le sommeil, ce qui a un impact significatif sur la mémoire et la concentration.

4. Motivation : Les personnes atteintes de troubles mentaux peuvent avoir du mal à maintenir leur motivation, ce qui peut influencer leur capacité à se concentrer sur des tâches cognitives.

5. Médicaments : Certains médicaments prescrits pour traiter des problèmes de santé mentale peuvent avoir des effets secondaires qui affectent la mémoire et la concentration.

6. Mécanismes neurobiologiques : Les problèmes de santé mentale, tels que la dépression, peuvent provoquer des changements dans le cerveau, notamment une altération de la communication entre les neurones, ce qui peut influencer la cognition.


Il est important de noter que ces relations sont complexes, et que chaque personne réagit différemment en fonction de sa santé mentale et de ses facteurs individuels. Le traitement des problèmes de santé mentale peut également avoir un impact positif sur la mémoire et la concentration, en aidant à atténuer ces influences négatives.


Comment et par quels mécanismes les fonctions cognitives sont-elles influencées par les traitements antidépresseurs ou les traitements anxiolytiques ?

Les traitements antidépresseurs et anxiolytiques peuvent influencer la mémoire, la concentration et d'autres fonctions cognitives, de plusieurs manières. Voici quelques mécanismes courants :


1. Modulation de la chimie cérébrale : Les antidépresseurs, tels que les inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine (ISRS) et les anxiolytiques, tels que les benzodiazépines, agissent en modifiant la chimie cérébrale. Ils augmentent la disponibilité de certains neurotransmetteurs, comme la sérotonine, ce qui peut améliorer la régulation émotionnelle et, par conséquent, la cognition.

2. Réduction de l'anxiété : Les anxiolytiques réduisent l'anxiété, ce qui peut avoir un impact positif sur la concentration. L'anxiété excessive peut perturber la capacité à se concentrer sur des tâches cognitives.

3. Amélioration de l'humeur : Les antidépresseurs aident souvent à stabiliser l'humeur et à réduire les symptômes de la dépression. Une amélioration de l'humeur peut favoriser une meilleure cognition.

4. Réduction du stress : Ces médicaments peuvent réduire les réponses physiologiques au stress, ce qui contribue à maintenir une meilleure concentration et une mémoire plus claire.



Cependant, il est important de noter que les effets des médicaments antidépresseurs et anxiolytiques sur la cognition varient d'une personne à l'autre. Certains individus peuvent ressentir une amélioration de leur concentration et de leur mémoire, tandis que d'autres peuvent éprouver des effets secondaires qui perturbent leur cognition, tels que la somnolence, la confusion ou la désorientation.


Les effets des médicaments dépendent également du type de médicament, de la posologie, de la durée du traitement et de la réaction individuelle. Il est essentiel de discuter des effets secondaires et des bénéfices potentiels avec un médecin ou un médecin psychiatre pour prendre des décisions éclairées sur le traitement médicamenteux.


Qu'est-ce que la résilience en psychologie ? Comment devenir résilient ou favoriser la résilience ?

La résilience en psychologie est un phénomène qui consiste, pour un individu affecté par un traumatisme ou une situation difficile, à prendre acte de l’événement et à se reconstruire de manière positive. La résilience n’est pas une qualité innée, mais un processus qui peut s’apprendre et se développer tout au long de la vie.


Pour devenir résilient ou favoriser la résilience, il existe plusieurs stratégies que vous pouvez mettre en œuvre. Voici quelques exemples :


 • Établir des bonnes relations avec votre entourage, qui vous apportent du soutien, de l’empathie et de la confiance ; éviter les mauvaises personnes ou toxiques.

 • Accepter le fait que le changement est inéluctable dans votre vie, et vous adapter aux nouvelles circonstances sans vous accrocher au passé.

 • Éviter de considérer les crises de votre vie comme des problèmes insurmontables, mais plutôt comme des défis à relever ou des opportunités d’apprentissage.

 • Réguler vos émotions, en les exprimant de manière saine et en cherchant à les comprendre.

 • Changer de regard sur la situation, en adoptant une perspective plus optimiste, positive et réaliste.

 • Se faire aider et aider les autres, en sollicitant l’aide d’un professionnel si besoin comme un psychothérapeute à Lyon, ou en apportant un peu de votre soutien à des personnes qui traversent des difficultés similaires.

 • Travailler, s’occuper, se divertir, en vous investissant dans des activités qui vous plaisent, vous motivent et vous valorisent.

 • Bien choisir votre entourage, en vous entourant de personnes qui vous encouragent, vous respectent et vous inspirent.

 • Se faire confiance, en renforçant votre estime de vous-même, votre affirmation de soi et votre autonomie.

 •  Cultiver la gratitude, en appréciant les aspects positifs de votre vie, les personnes qui comptent pour vous et les progrès que vous faites.


La résilience en psychologie se réfère à la capacité d'une personne à faire face, s'adapter et se récupérer de l'adversité, du stress, de la tragédie ou de l'adversité. C'est la capacité de rebondir après des situations difficiles, de surmonter des obstacles, de développer des compétences d'adaptation et de maintenir une bonne santé mentale malgré des circonstances stressantes. La résilience n'est pas une caractéristique innée, mais plutôt un trait qui peut être développé et renforcé au fil du temps.


Voici quelques moyens de devenir plus résilient ou de favoriser la résilience :


1. Cultiver des relations solides : Les relations interpersonnelles positives sont essentielles pour la résilience. Le soutien émotionnel des amis, de la famille et d'autres personnes de confiance peut aider à faire face aux moments difficiles. Faire le tri dans vos relations : éviter les mauvaises personnes ou toxiques.

2. Développer des compétences en résolution de problèmes : Apprendre à identifier les problèmes, à générer des solutions, et à prendre des décisions éclairées est un aspect clé de la résilience. Cela permet de trouver des moyens constructifs de faire face aux défis.

3. Maintenir une attitude optimiste : L'optimisme peut aider à atténuer les effets négatifs du stress. Cultiver une attitude positive, trouver des aspects positifs dans des situations difficiles et maintenir l'espoir peuvent renforcer la résilience.

4. Prendre soin de sa santé mentale : La pratique de la pleine conscience, de la méditation, du yoga et d'autres techniques de gestion du stress peut aider à maintenir une bonne santé mentale et à développer la résilience.

5. Établir des objectifs réalistes : Fixer des objectifs réalisables et mesurables permet de maintenir un sentiment de contrôle et de progresser même en période difficile.

6. Apprendre à gérer les émotions : Comprendre et gérer ses émotions de manière saine est crucial pour la résilience. Cela peut impliquer la recherche de soutien professionnel pour développer des compétences en gestion des émotions.

7. Accepter la réalité : Il est important de reconnaître les circonstances telles qu'elles sont et de s'adapter en conséquence, plutôt que de nier ou d'éviter la réalité.

8. Développer la flexibilité : La capacité à s'adapter aux changements et à la nouveauté est un élément clé de la résilience. Apprendre à être flexible et ouvert à de nouvelles expériences est bénéfique.

9. Chercher de l'aide professionnelle : Parfois, il est nécessaire de consulter un psychologue ou un psychothérapeute à Lyon pour travailler sur la résilience, en particulier lorsque des expériences traumatisantes ou des problèmes de santé psychique sont en jeu.


La résilience peut varier d'une personne à l'autre et peut être influencée par des facteurs tels que l'environnement, l'expérience passée et la personnalité. Cependant, elle peut être développée et renforcée au fil du temps grâce à des efforts conscients et à la pratique de compétences et de stratégies adaptatives.


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Pourquoi est-il préférable de consulter un psychothérapeute pour suivre une thérapie plutôt qu'un psychopraticien ?

Il est souvent préférable de consulter un psychothérapeute pour suivre une thérapie plutôt qu'un psychopraticien pour plusieurs raisons clés :


1. Formation et qualification :

 - Psychothérapeute : Ce titre est réglementé dans de nombreux pays, ce qui signifie que les psychothérapeutes doivent répondre à des critères de formation et de qualification stricts. Ils ont souvent suivi plusieurs années d'études universitaires spécialisées en psychologie, en psychiatrie, ou en psychanalyse, ainsi qu'une formation pratique supervisée.

 - Psychopraticien : Ce titre n'est pas réglementé de la même manière. Les niveaux de formation et de qualification peuvent varier largement, allant de formations courtes à des programmes plus complets, mais il n'y a pas de standardisation obligatoire.


2. Régulation et supervision :

 - Les psychothérapeutes sont souvent membres de professions réglementées et supervisées par des organismes professionnels, ce qui garantit des normes élevées de pratique et d'éthique. Ils doivent respecter un code de déontologie strict et sont souvent tenus de suivre une supervision continue.

 - Les psychopraticiens ne sont pas toujours soumis aux mêmes exigences de régulation et de supervision, ce qui peut entraîner des variations significatives dans la qualité des services offerts.


3. Capacité à traiter des troubles complexes :

 - Les psychothérapeutes, en raison de leur formation approfondie, sont mieux préparés pour repérer et accompagner une gamme de troubles psychologiques complexes, y compris les troubles de l'humeur, les troubles anxieux, les troubles de la personnalité, et les traumatismes.

 - Les psychopraticiens peuvent manquer des connaissances et des compétences nécessaires pour gérer des cas plus complexes ou graves, et peuvent être plus adaptés à des interventions de soutien général ou à des techniques de développement personnel.


4. Approches thérapeutiques validées :

 - Les psychothérapeutes utilisent souvent des méthodes thérapeutiques qui sont validées par la recherche scientifique et qui ont prouvé leur efficacité dans le traitement de divers troubles mentaux. Ils ont une base solide en psychologie clinique qui les aide à choisir les approches les plus appropriées pour chaque patient.

 - Les psychopraticiens peuvent utiliser des méthodes variées, mais toutes ne sont pas nécessairement validées scientifiquement. Il peut y avoir une plus grande dépendance à des approches alternatives ou moins conventionnelles.


5. Sécurité et éthique :

 - En raison de leur régulation stricte et de leur formation rigoureuse, les psychothérapeutes sont tenus de maintenir des standards élevés de pratique sécurisée et éthique. Cela inclut des protocoles clairs pour le traitement de l'information confidentielle, la gestion des crises, et la référence à d'autres professionnels de la santé mentale si nécessaire.

 - Les psychopraticiens, en l'absence de régulation stricte, peuvent ne pas toujours suivre des protocoles aussi rigoureux, ce qui peut poser des risques en termes de sécurité et d'éthique.



En résumé, consulter un psychothérapeute offre des garanties de qualité, de sécurité, et d'efficacité en raison de la formation rigoureuse, de la régulation stricte, et de l'adhésion à des méthodes thérapeutiques validées scientifiquement.


Quelle est la pratique d'un psychothérapeute ?

La pratique d'un psychothérapeute dépend de ses formations, ses compétences acquises au cours de ses études, stages, de son parcours professionnel, et des approches thérapeutiques qu’il propose. 


Formation et Compétences

 - Formation en Psychothérapie : Les psychothérapeutes peuvent avoir des formations variées, incluant la psychologie et la psychopathologie, la psychanalyse, la thérapie familiale, la Gestalt-thérapie, ou d'autres approches spécifiques. Leur formation est souvent centrée sur une ou plusieurs modalités thérapeutiques particulières.

 - Focus sur Techniques Spécifiques : Les psychothérapeutes peuvent avoir une expertise approfondie dans les techniques spécifiques de leur formation (par exemple, l'hypnose, la psychologie dynamique, la thérapie centrée sur la personne, la thérapie comportementale et cognitive).

 - Éventail de Backgrounds Professionnels : Les psychothérapeutes peuvent venir de divers horizons professionnels, tels que la médecine, le travail social, ou d'autres domaines connexes, enrichissant ainsi leur pratique avec des perspectives diverses.


Approche Thérapeutique

 - Approche Personnalisée et Spécialisée : Les psychothérapeutes peuvent offrir des approches très personnalisées et spécialisées basées sur leur formation spécifique. Par exemple, un psychanalyste se concentrera sur l'exploration de l'Inconscient, tandis qu'un thérapeute familial travaillera sur les dynamiques relationnelles.

 - Flexibilité dans les Modalités : Ils peuvent être plus flexibles dans l'utilisation de techniques innovantes ou moins conventionnelles, parfois en combinant plusieurs méthodes selon les besoins individuels du patient.

 - Moins d'Évaluations Diagnostiques : Bien qu'ils puissent effectuer des évaluations informelles, les psychothérapeutes ne réalisent pas les mêmes types de tests psychométriques et diagnostics formels que les psychologues.


Réglementation et Reconnaissance

 - Titre de Psychothérapeute : Le titre de psychothérapeute est protégé, et ceux qui portent ce titre doivent être reconnus par l'Agence Régionale de Santé (ARS) après avoir suivi une formation en psychopathologie clinique et une formation pratique supervisée. L’ARS leur délivre alors un numéro ADELI.

 - Diversité des Parcours : La diversité des parcours et des formations peut enrichir la pratique, mais cela peut aussi entraîner des variations dans les compétences et les approches thérapeutiques.


Conclusion

Les psychothérapeutes apportent souvent des approches spécialisées et personnalisées basées sur leur formation spécifique. Ce type de professionnels peut offrir un suivi et un accompagnement psychologique de qualité, mais son approche et ses techniques diffèrent de ceux des médecins psychothérapeutes ou et des psychiatres. 

Pour votre santé et votre sécurité, il est préférable de consulter un médecin en cas de douleurs physiques, de souffrances psychologiques ou de doutes quant à votre santé physique ou mentale. En outre, l’efficacité d’une psychothérapie est renforcée lorsqu’elle s’appuie sur un avis médical ou lorsqu’elle complémentaire à un suivi médical.


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